Le premier qualifia le feu nucléaire de « grande chiennerie » mais tailla la Constitution pour s’en faire attribuer les clés. Le second, pourtant pas avare de critiques, s’accommoda sans difficulté d’être le maître de l’arme atomique.

Alors que l'Ukraine préparerait une contre-offensive imminente, Evgueni Prigojine, le sulfureux représentant de la milice Wagner, multiplie les critiques incendiaires contre l'armée régulière de Vladimir Poutine. Finira-t-il par aller trop loin? Plongée dans les arcanes du pouvoir russe. Sommaire. Le cas Prilepine. Le printemps du Kazakhstan.

Alors que la guerre gronde aux portes de l'Europe, la Suède forme de plus en plus de jeunes à l'art militaire et envisage de doubler le nombre de ses conscrits d'ici à 2032. Une réponse à la montée des périls pour le pays scandinave qui a abandonné sa traditionnelle neutralité en mars en devenant membre à part entière de l'Otan.

En politique internationale comme au niveau franco-français, Emmanuel Macron aime jouer à la roulette… russe. Mais, dans les deux cas, il semble que Jupiter s’ingénie à se tirer une balle dans chaque cuisse. Si l’on peut comprendre sa position offensive vis-à-vis du satrape impérialiste de Moscou, encore faut-il savoir compter ses alliés avant de se lancer dans la bataille. Or, force est de constater que depuis son avènement, le président « en marche » s’est pris les pieds dans le tapis.

Le chef du Kremlin a fait de l'industrie de défense le moteur de la relance. Un modèle économique morbide qui plonge le pays dans l'impasse.

Malgré le satisfecit affiché par le gouvernement, notre pays, dans les faits, n'a pas basculé dans ce schéma annoncé il y a maintenant deux ans.

L'Alliance atlantique mue pour parer la menace d'une invasion russe. Mais ses membres craignent avant tout le retour de l'imprévisible Donald Trump à la Maison-Blanche.

Depuis une base militaire souterraine, au nord du cercle polaire, l’armée norvégienne surveille les allées et venues de la Russie dans l’Arctique. Un reporter de ce journal suédois a pu pénétrer dans ce QG à la James Bond.

L’offensive menée par l’Ukraine sur l’oblast de Koursk a déstabilisé la Russie, son état-major, ses soldats. Vladimir Poutine a beau promettre que l’armée de Kiev n’avancera plus, le mal est fait : le territoire russe n’est pas inviolable. Sommaire. “Ne tirez pas, nous sommes des appelés !”. Des équipements occidentaux en territoire russe. Quels objectifs poursuit Kiev sur le sol russe ?