Depuis son arrivée à la Maison-Blanche, le président américain ose ce que ses prédécesseurs Bill Clinton et Barack Obama n’ont pas tenté : gouverner à gauche et redonner à l’Etat fédéral une place centrale dans la vie des Américains.

On attendait beaucoup de la première femme vice-présidente des Etats-Unis. Mais depuis son investiture Kamala Harris est restée dans l’ombre de Joe Biden. Et sa cote de popularité est plus basse que celle du président.

Un an après la prise de fonctions du président démocrate, cet hebdomadaire britannique a donné carte blanche à des écrivaines et écrivains américains pour esquisser un premier état des lieux. Sommaire. "L’Amérique souffre encore du syndrome de la femme battue". "Une Maison-Blanche véritablement adulte". Pauvre Joe !

Réélu avec 58,5 % des voix face à Marine Le Pen, dans l'impossibilité de se porter à nouveau candidat en 2027, Emmanuel Macron, sous réserve que ses partisans gagnent les législatives, a les mains libres. Mais pour quoi faire ? Sommaire. Quel Macron a gagné ? Pour son dernier mandat il va nous la jouer... Marine Le Pen, pas encore à la retraite ! L'expérience américaine : au fait, il est comment, leur dernier mandat ?

Aux Etats-Unis, alors que les républicains étaient donnés largement favoris pour les élections législatives de novembre prochain, la potentielle invalidation de l'arrêt Roe v. Wade pourrait changer la donne. Tandis que les démocrates en profitent pour se présenter comme les grands défenseurs du droit à l'avortement, les républicains les blâment pour la fuite du document de la Cour Suprême le 3 mai dernier, affirmant que cette divulgation représente une trahison envers l'institution.

A deux mois des législatives, rien n'est perdu pour les démocrates. Donald Trump et les républicains vacillent. Et le suspense est relancé.

Les personnes qui luttent actuellement pour préserver ou retrouver le droit à l'avortement aux Etats-Unis ont besoin d'une figure autour de laquelle se rassembler. La vice-présidente du pays, Kamala Harris, est-elle prête à endosser ce rôle ? Pour l'instant, malgré ses différentes prises de paroles et déplacements, elle peine à s'imposer comme leader de ce combat national, devenu un enjeu crucial pour les élections législatives de novembre.

Près de deux années de poursuites, de scandales et de revers financiers ne semblent pas avoir entamé la confiance de l’ex-président dans son capital politique.

Un conservateur a été choisi par Donald Trump. Une nomination qui n'est pas sans enjeu politique.

La fille de Donald Trump, toujours présente au côté du président, dispose désormais d'un bureau à la présidence, au cœur du pouvoir, et devient conseillère de son père. Ce mélange des genres a suscité de nombreuses réactions dans la presse américaine."Il y a clairement de conflits d'intérêts". "Sa présence est rassurante".