Attaquée depuis le début de sa carrière, la vice-présidente a décidé de ne plus cacher ses ambitions. Son parcours jusqu’à la Maison-Blanche permet de mesurer les avancées des femmes en politique.

Fondée après la guerre de Sécession pour éduquer les Afro-Américains sortis de l'esclavage, l'université Howard reste un symbole de fierté et de pouvoir noirs, mais aussi une université de haute qualité en termes d'éducation. C'est ici que la nouvelle vice-présidente des Etats-Unis a été formée.

On attendait beaucoup de la première femme vice-présidente des Etats-Unis. Mais depuis son investiture Kamala Harris est restée dans l’ombre de Joe Biden. Et sa cote de popularité est plus basse que celle du président.

Candidate à la présidentielle de 2020, cette démocrate d’origine indienne est une pionnière à plus d’un titre, souligne ce magazine de New Delhi.

La sénatrice de Californie sera la colistière de Joe Biden pour la présidentielle de novembre. Pour ce chroniqueur américain, elle incarne l’avenir, contrairement à l’actuel vice-président.

Après quatre jours d’une interminable attente, Joe Biden a fini par s’imposer et deviendra le 46e président américain, le mieux élu de tous. La mobilisation des électeurs a été sans précédent. À ses côtés, et c’est historique : Kamala Harris, première femme, noire, à accéder à la vice-présidence. Ils héritent d’une Amérique plus divisée que jamais, où Donald Trump, qui refuse de concéder sa défaite, continue de souffler sur les braises. Quoi qu’il arrive, le populisme a encore de beaux jours devant lui. Sommaire. La fin du cauchemar. La victoire de Biden, "pas si inquiétante que prévu".

Colistière de Joe Biden à la présidentielle américaine, la sénatrice de Californie, fille d'immigrés jamaïcain et indien, permettra-t-elle au Parti démocrate de l'emporter face à Donald Trump ?

La convention démocrate a vu s'accumuler les discours assassins à l'encontre du président sortant. Mais cette hostilité risque de s'avérer insuffisante pour retourner les anciens électeurs de Donald Trump selon Didier Combeau, essayiste et spécialiste des Etats-Unis. Officiellement investie colistière de Joe Biden le 19 août 2020, la sénatrice Kamala Harris a éreinté Donald Trump accusé de tous les maux : "chaos permanent", "incompétence", "cruauté".

Ce n'est pas une équipe de rêve, mais un tandem ambitieux, qui porte les espoirs de ceux qui veulent empêcher Trump de démolir la démocratie. Ils sont en tête dans les sondages. Mais qui sont-ils ? Sommaire. Un "new New Deal" au programme. Pennsylvanie : une campagne folle, folle, folle. Biden ne pourra pas dire "on efface tout"...

Kamala sourit, Donald grimace... A un peu plus de cent jours de l'élection, la vice-présidente a démarré sa campagne en trombe, aussitôt soutenue par un Parti démocrate quasi unanime. Trump, qui fait encore figure de favori, se retrouve sur la défensive.

De surprises en rebondissements, la course à la Maison-Blanche s'annonce haletante. Pour la remplaçante de Joe Biden, la partie sera serrée. L'analyse se conclut par un article intitulé "Une nation à feu et à sang"

En renonçant à briguer un nouveau mandat, le président américain redonne espoir aux démocrates dans la course à la Maison-Blanche. Mais Kamala Harris fera-t-elle le poids face à Donald Trump ? Sommaire. Joe Biden, un choix douloureux et admirable. Un triste déni de démocratie. Kamala Harris, le dernier espoir pour battre Donald Trump. L’histoire se répétera-t-elle ? Les réactions de la presse étrangère.