Un siècle après la publication du "Manifeste du surréalisme" d'André Breton, pas tout à fait un demi-siècle après l'inauguration du Centre Pompidou, "Surréalisme, l'exposition du centenaire" est la dernière grande exposition du Musée national d'art moderne, un an avant la fermeture du Centre pour cinq ans.

A Paris, deux expositions célèbrent les peintres russes. Au Petit Palais, "lIya Répine (1844-1930). Peindre l'âme russe", rend hommage à celui qui immortalisa la Russie des tsars comme celle des révolutions. Au même moment, la Fondation Louis-Vuitton présente 200 joyaux de la très réputée collection des frères Morozov sous le titre "Icônes de l'art moderne".

L'amitié entre le "président-poète" du Sénégal et le "peintre-architecte" de l'outrenoir a culminé avec l'organisation d'une exposition de ce dernier à Dakar en 1974. Récit.

Alors que les crises sanitaires, énergétiques et climatiques ébranlent l'écosystème des lieux d'exposition, le monde de l'art fait sa mue écologique. Enquête.

Né il y a cent ans sous l'impulsion d'André Breton, le surréalisme s'est imposé comme l'un des courants artistiques et littéraires majeurs du XXe siècle. L'exposition du Centre Pompidou restitue l'extraordinaire jaillissement d'idées et de formes d'un mouvement né sous la double invocation du désir et du rêve.

Antitotalitaire, anticolonialiste, ouvert aux femmes... Une exposition enivrante rend justice au mouvement créé en 1924 par André Breton.

Des beautés sonores, un journal iranien queer, une immense tapisserie... Cette Biennale éclectique, réussie, évolue en harmonie avec son territoire.

Un triptyque de Claude Monet est présenté pour la première fois à Paris, dans une exposition qui l'unit à l'expressionniste américaine Joan Mitchell. "L'Obs" a assisté à l'accrochage de ce chef-d'oeuvre.

Ethnologique, artisanal, low art : tels sont les adjectifs longtemps accolés à l'art non occidental. Mais, aujourd'hui, trente ans après l'exposition "Magiciens de la Terre" (Centre Pompidou et Grande halle de La Villette), sa perception a-t-elle évolué et sa visibilité s'est-elle accrue dans les musées et les institutions ? Quelques expositions récentes montrent que les lignes et les mentalités bougent, mais lentement, à moins que le marché ne s'en mêle...

Le Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Étienne s'appuie sur des oeuvres historiques et une documentation inédite pour mettre en lumière la dimension performative de l'arte povera. L'exposition "Entrare nell'opera. Entrer dans l'oeuvre/Actions et processus dans l'arte povera" se tient du 30 novembre 2019 au 3 mai 2020.

La 60e édit ion du prestigieux rendez-vous est pilotée par le commissaire et critique brésilien Adriano Pedrosa. Les thèmes de l'exil et des minorités sont au centre de sa proposition artistique, qui veut faire entendre les voix de l'hémisphère Sud. Sommaire. Les messagers d'un autre monde. Pavillons nationaux. Réparer l'injustice. Le jardin extraordinaire de Julien Creuzet.

Le MAMC de Saint-Etienne consacre à Robert Morris, figure clé de l'art minimal et post-minimal, un parcours centré sur l'expérience corporelle des sens.