Portrait psychologique de l'icône féministe et anarchiste, qui pensait que la révolution sociale passait d'abord par la révolution de l'intime. L'auteure montre ce qui l'a poussée à se battre contre des conditions que ses contemporains acceptaient docilement et compare ces dernières à la situation de la société contemporaine. ©Electre 2024

Histoire des persécutions antisémites au cours de la Seconde Guerre mondiale en Normandie, depuis la mise en place du statut des Juifs en octobre 1940 jusqu'aux déportations, en passant par les rafles et les arrestations. ©Electre 2024

Analyse de la coopération de la compagnie ferroviaire belge sous l'occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. A l'époque, la SNCB constitue la plus grande entreprise et le principal service public du pays et assure ainsi l'approvisionnement en matières premières. Leur collaboration avec l'occupant amène les chemins de fer à participer à des centaines de milliers de déportations. ©Electre 2024

Présentation de l'utilisation des ports du Débarquement, mobilisés pour libérer la France et anéantir les forces militaires allemandes. De la Normandie au Morbihan en passant par les zones portuaires anglaises, l'auteur revient sur ces lieux nécessaires à la logistique de guerre ayant permis la Libération. Il évoque également les différentes opérations : Corncob, Cobra, entre autres. ©Electre 2024

Le psychanalyste A. S. Neill a tenté d'appliquer les découvertes psychanalytiques dans une école autogérée qu'il a fondée en 1921, à Summerhill dans la région de Londres. Il traite, pour une partie, de la vie à Summerhill, et pour une autre partie, sous l'angle analytique, de questions variées concernant la liberté, le savoir, la vérité et le désir. ©Electre 2024

Une histoire de la naissance et de l'expansion des grands magasins parisiens, qui ont révolutionné la société de consommation au XIXe siècle. Les entrepreneurs, les marchandises, la mode, le mobilier, les publicités ou encore les objets de décoration rattachés à cette aventure commerciale sont présentés. ©Electre 2024

Contrairement à la théorie selon laquelle le pacte germano-soviétique, signé le 23 août 1939, avait pour but de permettre à l'URSS de gagner du temps pour préparer un conflit inévitable face à l'Allemagne nazie, l'auteur montre, documentation à l'appui, que cette alliance était voulue par Staline depuis 1933. Il a ainsi pu étendre le territoire russe vers l'ouest en échange de matières premières. ©Electre 2024

Ennemies intérieures. Quand on évoque le sort des femmes qui ont collaboré pendant l'Occupation, des images nous viennent immédiatement en tête : celles des milliers de citoyennes françaises broyées par l'épuration sauvage et – humiliation suprême – tondues publiquement pour avoir " fauté " avec l'ennemi. Si l'on met de côté cette fameuse " collaboration horizontale " – résumée par la célèbre phrase d'Arletty : " Mon cœur est français, mais mon cul est international " –, on songe alors à quelques cas particuliers (tels que le fameux voyage en Allemagne des actrices françaises en 1942 que l'on a surnommé le " train de la honte "). Toutefois, l'engagement des femmes avec l'ennemi entre 1940 et 1944 ne peut être réduit à la dizaine de profils qui le symbolisent. Les deux auteurs de cet ouvrage sur la France des années noires nous révèlent pour la première fois que les collaboratrices actives ont bien existé et, surtout, qu'elles étaient nombreuses et partout. Certaines, bien sûr, sont célèbres : c'est le cas d'artistes (comme Coco Chanel), de " femmes de " (Annie Pétain), de " filles de " (Josée Laval de Chambrun, qui idolâtrait son père Pierre Laval) et aussi de salonnières (Marie-Louise Bousquet). Mais si la plupart sont des anonymes – des " Madame Tout-le-monde " –, elles n'en étaient pas moins dangereuses : miliciennes, gestapistes, ou encore espionnes, elles ont parfois menti, dénoncé, traqué voire violenté. Pour quelle(s) raison(s) ? Par besoin ? Par naïveté ? Par amour ? Par conviction ? Joëlle Dusseau et Pierre Brana nous livrent ici le résultat d'une enquête historique inédite qui nous montre que " collaborer " peut aussi se conjuguer au féminin. Une synthèse indispensable qui comble un vide historiographique.

L'auteur raconte son enfance à Colombières-sur-Orb (département de l'Hérault). Il relate sa vie à la campagne, les années qui précèdent la Seconde Guerre mondiale. Tout public. (Livres hebdo : livres du mois, 4, 2000)

Vienne aujourd'hui encore se découvre au fil de ses langueurs mélancoliques, telles qu'autrefois Stefan Zweig les a dépeintes dans son oeuvre littéraire. Sur ses traces nous est racontée en récit et en photographies une capitale dont le versant crépusculaire et toujours esthétisant n'a cessé d'envoûter. Un carnet de voyage donne à la fin du livre de nombreuses adresses indispensables à une visite teintée de ces couleurs très littéraires.