Le développement des agents conversationnels s'accompagne de méthodes censées leur éviter de générer des contenus choquants ou illégaux. Mais elles sont loin d'être parfaites.

Einstein, bien sûr, mais aussi Marie Curie, Alan Turing, Picasso... Une nouvelle génération de chatbots débarque. Des fantômes numériques qui discutent en direct. C'est très amusant, mais cela suscite déjà de profondes questions philosophiques.

Le 28 avril 2025, OpenAI a lancé la fonctionnalité Shopping pour ChatGPT, d’abord aux États-Unis puis en France une semaine plus tard, avec les mises à jour des modèles GPT-4o et 4o-mini. Cette nouveauté transforme ChatGPT en conseiller d’achat, affichant lors de la détection d’une intention d’achat un carrousel d’articles pertinents, avec prix, avis clients et lien vers la fiche produit.

Depuis son lancement fin 2022, l'intelligence artificielle (I.A.) ChatGPT affole tout le monde. Capable de faire la conversation sur tous les sujets et d'écrire rapidement des textes sur commande, elle donne l'impression d'avoir réponse à tout...

Depuis près de trois ans, les débats sur les conséquences sociétales de l'intelligence artificielle (IA) générative se multiplient, sans qu'aucun consensus se dégage. Une étude préliminaire récente du Massachusetts Institute of Technology (MIT) souligne les effets négatifs de ChatGPT sur le fonctionnement cérébral. Fin de la discussion ? Rien n'est moins sûr...

Les agents IA, collaborateurs virtuels autonomes alimentés par l’IA générative, sont capables de remplir des objectifs complexes, collaborant entre eux et avec des salariés humains, et utilisant des outils informatiques.