Alors que plusieurs spécialistes de la gestion de l'eau et de l'électricité subissent le tropisme antifrançais sur le continent, l'énergéticien continue d'y poursuivre son expansion. Quelle est la recette de son succès ?

Les opérateurs se félicitent de la libéralisation progressive du secteur dans plusieurs pays, mais ils entendent se prémunir contre les risques techniques et financiers. Sommaire. Eau, distrubution. Quand on ouvre les vannes au privé. Gestion des déchets, marchés. Les ambitions du libanais Averda contrariées par les impayés.

Du captage à notre verre, l'eau du robinet fait l'objet d'un suivi pointilleux. Une surveillance oui s'adapte continuellement aux nouveaux risques.

Afin d'avancer dans la réalisation des objectifs français de transition écologique, les pouvoirs publics agissent à la fois sur l'offre (par exemple, plus d'énergies renouvelables), mais aussi sur la demande, en incitant les citoyens à faire preuve de plus de sobriété. Cette incitation à la sobriété se traduit, entre autres, par des changements de comportements et de modes de vie : réduire le gaspillage, valoriser ses déchets, baisser le thermostat l'hiver, économiser l'eau...

La précarité en eau concerne au moins 330 000 sans-abri, 100 000 personnes en habitat de fortune, 1,2 million de locataires en impayés de loyers et charges. Les services d'eau, tenus de s'emparer du sujet, peinent à trouver comment s'y attaquer. Détails. Pas de chiffres.