Kéfir, kombucha, thés, bières, voire gin... La diminution de la consommation d’alcool en France, notamment chez les plus jeunes, s’accompagne d’une hausse des ventes de boissons "no-low" – sans alcool ou pauvres en alcool –, souvent labellisées bio. Loin de n’être que des copies désalcoolisées, ces nouveaux breuvages imposent leur propre style et se déclinent sur une grande variété de saveurs, souvent inédites. Et preuve que le marché se structure, des gammes premium commencent à émerger. Détails. Pas de chiffres.

Alors qu'une partie du vignoble français est à la peine face à la baisse constante de la consommation de vin depuis plusieurs décennies, le sans-alcool gagne du terrain en surfant sur les codes de la dive bouteille.

Ayant appris de ses erreurs et avec des fabricants et des enseignes plus motivées que jamais, la catégorie est prête à traduire en chiffres les promesses portées par la tendance du "no-low". Données chiffrées. Graphiques.

Sous l'effet d'une météo désastreuse en 2024, mais aussi de l'inflation, les boissons sans alcool ont dû affronter des vents contraires. Avec notamment le doublement de la taxe sur les boissons sucrées, la tempête n'est pas terminée. Détails. Données chiffrées.