Il y a un an, 49 Etats africains créaient une zone de libre-échange. Mais les nombreuses barrières réglementaires et logistiques freinent l'unification économique du continent.

Diversification de l'économie, innovation, Zlec, évolution des relations internationales... La dirigeante pose un regard lucide sur les défis auxquels le continent est confronté.

Deux mois après son entrée en vigueur théorique, l'accord portant création d'une zone de libre-échange continentale sera au coeur des discussions du sommet de l'Union africaine qui va se tenir au Niger du 4 au 8 juillet 2019. "JA" vous dit tout des principaux enjeux.

La critique des traités internationaux de libre-échange n'est plus l'exclusivité des eurosceptiques. Les Républicains et le Parti socialiste s'y essaient. Sommaire. CETA et traité avec le Mercosur, le protectionnisme pour tous ? Paysans méprisés, bernés et trahis par Macron.

Quinze pays d’Asie et du Pacifique viennent de signer un accord commercial présenté comme une “victoire du multilatéralisme”, mais qui consolide l’hégémonie de Pékin.

Longtemps présentée comme un système gagnant-gagnant par les partenaires du continent, la libéralisation des échanges s'est trop souvent faite aux dépens des Africains. L'heure est désormais au rééquilibrage.

Selon le secrétaire de la Zone de libre-échange continentale africaine, chargé d'accompagner les Etats dans la mise en oeuvre de l'accord, le continent est toujours prisonnier d'un modèle économique colonial qu'il faut absolument restructurer.

Après le krach financier de 2008 et la guerre commerciale sino-américaine qui avaient déjà détérioré le système de libre-échange commercial, ce dernier se voit touché de plein fouet par la pandémie du coronavirus qui a entraîné une fermeture des frontières et a perturbé le commerce. La pandémie pourrait renforcer la tendance à l’autosuffisance. Ce repli sur soi pourrait avoir pour effet d'affaiblir la reprise, de rendre l’économie vulnérable et de propager l’instabilité géopolitique. Décryptage. Pas de chiffres.

Les tribunaux d'arbitrage permettant à un investisseur étranger d'attaquer en justice un Etat font débat.

Depuis le XVIIIème siècle, phases de protectionnisme et de libre-échange se sont succédé. Les excès d'une période entraînant la suivante, selon l'économiste Pierre Dockès.