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Cultures urbaines (culture populaire)

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Auteurs
Découvert lors du Red Bull Music Festival à New York, Brujas, collectif de skateuses, mêle mode streetwear, engagement et culture underground. Rencontre avec Arianna Gil, une de ses têtes pensantes.
Numéros de page :
pp.56-58

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Vingt-trois ans que You Must Create, aka YMC, impose son vestiaire simple et imprégné de street culture. Rencontre avec Fraser Moss, son créateur, "vieux con" autoproclamé mais toujours aussi pertinent.
Numéros de page :
pp.58-59

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Il n'y a pas que Los Angeles ou Barcelone... A Paris, sur les spots de République, du Palais de Tokyo ou de la porte de la Muette, "rident" des skateurs de tous âges, couleurs ou conditions. Qui perpétuent une culture toujours underground et authentique.
Numéros de page :
pp.50-55

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Sa poésie brute fait rêver les cités et s'encanailler les bien-nés. Depuis quinze ans, Booba règne sur le rap français. Un terrain de jeux sur lequel l'artiste fait la loi à coups de punchlines virtuoses, obscènes et ravageuses. Celles-ci lui valent quelques inimitiés qu'il règle sur les réseaux sociaux ou avec ses poings, comme à Orly début août 2018. A 41 ans, entrepreneur accompli, fils prévenant et père protecteur, il n'en reste pas moins hanté par la violence. De mauvaises pulsions qui pourraient le faire repasser par la case prison, à l'issue de son procès le 6 septembre 2018.
Numéros de page :
pp.25-31

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Il a suffi du buzz de quelques vidéos stylées de roller dance et de roller skating pendant le confinement pour que le monde entier se mette au patin. En particulier, les queers et les féministes. En se demandant pourquoi, "Causette" est remontée aux racines d'un sport très politique, qui doit beaucoup aux communautés afros. Par
Numéros de page :
pp.48-50, 52

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Cela fait quelques années que les 13e et 14e arrondissements, dans le sud de la capitale, sont une pépinière du rap et du street art. A la lisière des très chics 5e et 6e arrondissements, ces quartiers hérissés de tours qui ont accueilli les différentes vagues migratoires sont toujours un lieu de brassage social. Non, le rap ne vient pas que de banlieue.
Numéros de page :
pp.46-52

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De la place Vendôme aux Champs-Elysées, les danseurs de hip-hop investissent les lieux les plus prestigieux de la capitale pour filmer leurs chorégraphies sur Tiktok. Dans l'espoir de faire carrière.
Numéros de page :
pp.78-80

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L’avenir de la culture passe par les cultures urbaines et les différentes formes d’expressions issues des banlieues (rap, stand-up, slam, cinéma...) qui renouvellent la langue française.
Numéros de page :
pp.78-83

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De la rue aux galeries, des terrains vagues aux défilés de mode, de la prison à l’Élysée, le hip-hop bouleverse la création contemporaine. La Philharmonie de Paris tente une rétrospective du mouvement, version française.
Numéros de page :
pp.78-87

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Depuis quelques d'années, les partis politiques tentent de rallier à leur cause la scène hip-hop française, et avec elle les jeunes. Quelle place aujourd'hui pour un engagement de ces artistes ?
Numéros de page :
pp.20-23

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Au début des années 1990, à New York, deux marques créent le buzz : avec peu de moyens mais avec deux icônes créatives, Kim Gordon (Sonic Youth) et Mike D (Beastie Boys), X-Girl et X-Large célèbrent le mariage de la mode et de la musique.
Numéros de page :
pp.86-89

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Quimper, Metz, Paris. Chaque week-end ou jour de vacances, on peut les voir prendre possession de la ville sur leurs vélos, regroupés par dizaines, pour le simple plaisir de se "balader", de "faire des figures" et de se "sentir libres". Bienvenue dans la bike life, un loisir qui est aussi une façon de se réapproprier l'espace public.
Numéros de page :
pp.56-62