Accent mis sur le cloud computing, en 2013, par les éditeurs d'outils de gestion de contenu d'entreprise (ECM - Entreprise Content Management), autrement dit la vente de logiciels sous forme de services et la fourniture d'un ensemble de technologies hébergées dans les nuages. Leur objectif : réduire les coûts et rester solides face à la montée en puissance des nouveaux systèmes en ligne de collaboration et de partage de documents (comme par exemple Dropbox ou Box).

Fort engouement des entreprises françaises pour le cloud computing, qui y trouvent de nombreux avantages : faibles investissements initiaux, déploiement rapide, possibilité d'ajuster et d'étendre les solutions... Résultat : le marché de l'informatique dans les nuages affiche une impressionnante croissance, le cloud public ayant ainsi dépassé le seuil symbolique du milliard d'euros au début de l'année 2014.

Migration progressive des logiciels documentaires vers le cloud computing, comme la majorité des applications informatiques. La raison ? La solution du cloud est aujourd'hui à la portée de toutes les organisations y compris les plus modestes qui peuvent ainsi s'affranchir des opérations traditionnelles de maintenance informatique. Panorama des éditeurs de logiciels, en France, avec détails des fonctionnalités de leurs outils, sous forme d'un tableau.

Panorama de l'offre du marché français en stockage et archivage de données dans le cloud, solutions de plus en plus prisées par les entreprises. Une étude qui permet de faire la distinction entre le simple stockage et la prestation d'archivage selon la norme NF Z 42-013 et qui attire l'attention sur quelques aspects essentiels comme la réversibilité et la redondance des données.

Décryptage, à l'occasion de l'édition 2016 des Salons Solutions, de la place de la dématérialisation documentaire dans la transition digitale des entreprises qui se traduit par le déploiement du cloud computing, l'usage des réseaux sociaux, des technologies mobiles, des objets connectés, ou encore la montée en puissance du big data. Le digital est porté par une foule d'outils qu'il s'agit désormais de rendre efficaces. Un enjeu pour les éditeurs de logiciels bien décidés à prendre place dans un mouvement qui touche bien souvent le point sensible de la relation client.

En 1999, le patron d'IBM avait fait l'effet d'une bombe dans le monde de l'informatique en annonçant la fin de l'ère du PC et en se retirant ensuite de ce marché. Vieux de plus de trente ans, l'ordinateur personnel vit-il ses derniers jours?

Les données des PME et des grands groupes belges transitent chaque jour par Office 365, Microsoft Teams, GSuite, Slack, Dropbox, WhatsApp, etc. Point commun : la législation américaine, dont les pouvoirs d'intrusion ont été intensifiés en 2018. Est-ce dangereux ? Peut-on laisser les données de nos entreprises dans les "clouds" américains ou faut-il privilégier des acteurs plus proches de nous ?

En libérant particuliers et entreprises des contraintes techniques, le Cloud pourrait initier une révolution numérique. Au point de devenir un enjeu stratégique.

Alors que la digitalisation de l'entreprise aboutit à une augmentation considérable de la quantité de données à récolter, traiter et stocker (big data), il ne s'agit plus pour les organisations de de savoir s'il faut ou non passer au cloud, mais quand. Ainsi, de la PME à la multinationale, la majorité des entreprises françaises ont ou vont opérer leur migration vers le cloud. A la clé : agilité, souplesse, innovations, sécurité..., et ce, pour un coût qui reste accessible.

Le cloud computing continue de se développer en France, le marché étant passé de 900 millions d'euros en 2007 à presque 6 milliards EUR en 2016, multipliant ainsi son CA par six en dix ans, selon Markess International. Si au départ ce sont surtout les grands comptes qui se sont montrés intéressés, les PME sont de plus en plus nombreuses à se lancer dans l'aventure du cloud, qui permet de bénéficier rapidement de services innovants, et surtout accessibles en situation de mobilité.

Selon une étude publiée en août, la plupart des Américains pensent que le terme "cloud", qui signifie "nuage" en anglais, se réfère à la météo. Le "cloud computing" désigne en réalité le stockage de données informatiques à distance.