Une nouvelle classe d’analgésiques stoppe les signaux nerveux de la douleur avant qu’ils n’atteignent le cerveau. L’espoir est de soulager des millions de personnes tout en évitant le risque d’addiction.

Ils pourraient traiter tumeurs, myopathie, hépatite B... Ces nouveaux "épimédicaments" ont le pouvoir d'activer ou d'éteindre à volonté des gènes sans toucher à l'ADN. Une vraie piste.

Après des décennies de tâtonnements, la recherche semble passer la vitesse supérieure et de nouvelles molécules voient le jour. Elles offrent une meilleure réduction des symptômes et moins d’effets secondaires.

De nombreux Français souffrent de ballonnements, de douleurs abdominales ou de constipation : des symptômes variés qui recouvrent des affections diverses. Des prises en charge innovantes existent pour les formes bénignes comme le syndrome de l'intestin irritable, tandis que la recherche progresse pour traiter les maladies plus handicapantes telles que les Mici.