A l'occasion de la réouverture du Musée Picasso, Jean-François Cazeau expose des dessins, gravures, photos et autres documents privés issus de l'ancienne collection de Georges Tabaraud, ami de Picasso.

Grâce à des prêts exceptionnels consentis par le Maroc, une exposition brosse, sur cinq siècles, la flamboyante épopée des dynasties berbéro-andalouses et de leurs somptueuses capitales.

La Conciergerie consacre une belle exposition au roi de France à l'occasion du 800e anniversaire de sa naissance.

Fidèle à l'arte pavera et à l'expression de son lien avec l'univers, l'artiste italien invite le visiteur à appréhender son langage esthétique en découvrant son installation comme un paysage.

Mettant en lumière les récentes découvertes archéologiques en Chine, le Musée Guimet célèbre l'extraordinaire floraison de la création artistique et de la pensée sous le règne des Han.

A la Fondation d'entreprise Ricard, Emmanuelle Lainé utilise la photographie pour étendre à l'espace d'exposition l'expérience de l'atelier.

La Galerie Louis Carré & Cie présente la dernière série du peintre qui se régale de la fréquentation des grandes manifestations d'art contemporain et de leurs abords naturels, parcs et jardins.

Servie par des objets exemplaires, l'exposition retrace plus d'un siècle de fouilles et de découvertes dans cette île grecque mâtinée d'Orient.

Enquête sur une génération d'artistes dans l'exposition "1984-1999. La Décennie", présentée au Centre Pompidou-Metz (jusqu'au 2 mars 2015). Orchestré par Stéphanie Moisdon et scénographié par Dominique Gonzalez-Foerster comme sur un grand plateau de cinéma évoquant un paysage entre ville et forêt, ce rassemblement d'oeuvres, significatives d'un rapport renouvelé au réel, permet de revenir sur quelques idées-forces des années 1990.

La flamme éternelle de Thomas Hirschhorn a brûlé dans les salles du Palais de Tokyo entre le 24 avril et le 23 juin 2014. L'exposition, dont le commissariat était assuré par Julien Fronsacq, était une vaste machine à produire. Elle comptait deux foyers (au sens propre), 15 000 pneus, huit espaces dans lesquels on trouvait à écouter et à produire. L'entrée était libre.

Déposséder une oeuvre de son contenu anecdotique et de la rigidité formelle pour n'en garder que l'intensité du propos allégorique : les oeuvres de Latifa Echakhch se situent dans cet écart entre poétique et politique, déssaisissement et réappropriation. Lauréate du prix Marcel-Duchamp, elle expose au Centre Pompidou, Espace 315, du 8 octobre 2014 au 5 janvier 2015.