Lâchez un moment vos applis et vos podcasts, votre télé et vos magazines. Le monde est beaucoup moins violent que ne voudraient nous le faire croire les unes des journaux télévisés. Evidemment, quand un attentat se produit à Kaboul ou à Berlin, tout le monde en entend parler, et en est ébranlé. Mais le taux de morts violentes rapporté à l'ensemble de la population terrestre ne cesse de baisser depuis des siècles, et poursuit son déclin. Il a fallu l'opiniâtreté et la méthode d'un chercheur comme Steven Pinker pour documenter cette évolution de façon irréfutable.

Pour Thomas d'Ansembourg, qui enseigne depuis vingt-cing ans la communication non violente, tout commence par la connaissance de soi. Plus qu'une méthode de développement personnel, une véritable hygiène de vie.

Au travail, en couple, en famille, les conflits font partie du quotidien. Mais on peut les dépasser. Témoignages.

On a tout à gagner à s'excuser : on est alors perçu comme plus chaleureux, sensible et intelligent. C'est aussi un signe de bonne santé mentale, car ceux qui s'excusent ont une bonne estime de soi.

Évidente en apparence, cette invitation a pris une dimension particulière depuis trois ans. Retour en arrière : le confinement nous rappelle combien la présence des autres nous est nécessaire. Et rebat les cartes au profit d'une vie plus centrée sur soi. Comment, dès lors, partager de bons moments sans être envahi ? Une équation complexe que notre dossier, avec la complicité de nos experts, vous aidera à résoudre. A la clé : le plaisir de douces relations. Sommaire. Ni avec eux, ni sans eux. Laurent Bègue-Shankland : « Pour être bien avec soi, il faut être bien avec les autres ».

Divergences éducatives, priorités discordantes... Pour des parents, la confrontation avec la progéniture des amis peut détraquer les séjours estivaux.