Une étude de la collaboration économique des banques, des entreprises et des élites financières avec le régime nazi. L'auteur dévoile que, outre les dirigeants d'entreprises allemands, de grandes sociétés néerlandaises, belges, françaises et américaines ont pratiqué une coopération économique particulièrement lucrative avec le IIIe Reich, dès avant la Seconde Guerre mondiale.

Né en 1884, Friedrich Reck-Malleczewen a abandonné sa carrière de médecin pour se consacrer à l'écriture à travers ses livres et ses chroniques littéraires. Son opposition au national-socialisme lui vaudra d'être arrêté puis interné à Dachau, où il meurt en février 1945.

En 1943, Adolf Hitler imagine un plan en vue de transférer Pie XII et certains membres de la curie romaine en Allemagne. Grâce aux archives secrètes du Vatican publiées en 2012, l'historien retrace cet épisode peu connu de la Seconde Guerre mondiale. Il met en lumière les dangers encourus par le pape au cours de cette période. ©Electre 2015

Partisan d'une thérapie cognitive et humaniste pour combattre l'idéologie prônée par les nazis, l'auteur s'est proposé de les prendre au sérieux, d'examiner ce qu'ils croyaient vrai et leurs projets tels qu'ils se les exprimaient à eux-mêmes. Electre 2014

Quatre articles du philosophe et homme politique hongrois, écrits entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et le début de la guerre froide, qui exposent ses réflexions autour de la découverte des camps d'extermination. Il y dénonce les cheminement politiques et intellectuels qui ont élevé au rang de vision du monde le racisme, l'irrationalisme et l'antihumanisme. ©Electre 2019

Pour expliquer le destin de l'Europe et la psychologie si particulière du dictateur, Thomas Weber revient sur l'histoire du soldat Hitler pendant la Première Guerre mondiale et invalide quelques idées reçues sur les aptitudes et la personnalité du Führer. Electre 2014

Un ouvrage consacré à la prise et à l'exercice du pouvoir par Adolf Hitler et son parti national-socialiste, fondé en 1920 et mené au pouvoir moins de treize ans plus tard, fin janvier 1933.

En son temps, il a fait ce qu'il devait faire. Nonce à Berlin, les sbires d'Hitler ont envahi sa nonciature, il n'a jamais dit un mot favorable au nazisme, bien au contraire, et il a toujours approuvé les terribles discours de grands prélats allemands qui, eux, mériteraient l'auréole des saints. Ce livre voudrait être un hommage à ces religieux allemands qui ont eu le courage d'affronter la terreur nazie au risque de leur vie. Salut à ces justes...