L'application, qui propose à un très large pubilc des échanges sécurisés, est recommandée par l'organisation Etat islamique

Une jeune fille de 19 ans, Ines Madani, est soupçonnée d'avoir séduit sur Internet sa complice pour placer une voiture piégée dans Paris.

Voir la vie à travers un objectif, quel impact sur les générations à venir?

"Name and shame" : nommer et couvrir de honte. Prisée par les Anglo-Saxons, la version trash et moderne du bonnet d'âne consiste à livrer à la vindicte populaire les pédophiles sortis de prison, les profiteurs d'aides sociales ou les voleurs. Si certains craignent que la tendance ne débarque en France, d'autres l'espèrent pour dénoncer les méfaits des entreprises et des institutions... Enquête.

Les UGC, pour "user generated contents", sont des photos ou vidéos prises par des personnes qui ne sont pas des journalistes professionnels. Saisis sur le vif par de simples témoins, ces clichés captés au smartphone sont diffusés sur les réseaux sociaux, où les médias qui couvrent l'actualité à chaud traquent désormais systématiquement les images les plus fortes.

Parce qu'elle passe par l'image et non par les mots, Instagram est la dernière application à la mode. Né il y a un peu plus d'un an, ce réseau social a déjà séduit 15 millions d'utilisateurs, dont Barack Obama.

Il y a 25 ans, "Pretty Woman" immortalisait la prostituée en princesse de conte de fées. Une vision glamour dénoncée dans un blog chrétien aussitôt conspué sur twitter par des travailleuses du sexe australiennes, heureuses, et fières de l'être.

Photos d'une banalité confondante, vidéos sans intérêt... Pour meubler le vide, les jeunes produisent et partagent du "rien" sur les réseaux sociaux. Un flot de néant qui a déjà un nom : le "Borecore".