Après le limogeage du chef du Shin Bet, et à l'approche d'un vote crucial à la Knesset, le Premier ministre israélien pilonne à nouveau l'enclave palestinienne et franchit une étape dans sa dérive autocratique.

Seul candidat déclaré, l'ancien Premier ministre doit composer avec des concurrents qui peuvent se révéler demain de vrais obstacles sur son chemin vers la présidentielle.

Le bluff, le sens du spectacle, le maniement des foules : le président américain a tout appris de ce sport bidon à l'intersection du divertissement, du business et de la politique.

Clément Tonon, conseiller d'Edouard Philippe, plaide dans un essai pour une vision politique débarrassée de la tentation de l'instantanéité.

Ouvertement hostile à Volodymyr Zelensky et constant flagorneur de Donald Trump, le vice-président américain se révèle encore plus extrémiste et glaçant qu'on ne l'imaginait.

Certaines voix à gauche appellent à ne plus fuir les débats sur l'identité nationale et l'immigration.

Comment l'ancien président de la République, sorti carbonisé de son quinquennat, a-t-il retrouvé un rôle de premier plan au sein de la gauche ?

Les élections de Javier Milei puis de Donald Trump ont insufflé un "vent de liberté" qui se traduit par une remise en cause radicale du rôle de l'État dans l'économie. En Europe, les droites sont toutes tentées d'appliquer ces préceptes probusiness pour conquérir le pouvoir

Par trois fois, déjà, il a renoncé in extremis à se présenter à une élection. Dont deux présidentielles. Nouvelle personnalité politique préférée des Français, Dominique de Villepin fait un come-back "gaullien" sur fond de crise internationale. Ira-t-il cette fois, au risque de tout perdre ? Sommaire. Un solitaire à l'assaut de la présidentielle. ''Je ne reviens pas pour me venger'', entretien face à la rédaction de "Marianne". Pourquoi tant d'amour ?

La visite de Jordan Bardella en Israël illustre un changement de discours amorcé depuis des années. Mais il ne s'agirait pas de se méprendre sur le virage du RN vis-à-vis des Juifs, analyse la politologue Nonna Mayer.

Pour savoir de quel bois se chauffe vraiment Donald Trump dans ce second mandat, le mieux était encore de s'envoler fin février pour Washington et d'aller assister à la CPAC, le grand raout annuel de la droite américaine, où ont défilé, outre Trump, Vance et Musk, toutes les figures de ce régime qui pourrait bien en finir avec la démocratie aux États-Unis. Quelques mots-clés pour situer l'événement : centre de déportation, glorification de meurtres, alertes à la bombe, saluts nazis. Avertissement aux lecteurs : tout ceci est réel.

Que peut faire la droite pour valoriser son image ? Donald Trump, selon certains, redonne de la fierté à l'Occident. Chantal Delsol nous rassure : un trumpisme à la française est impossible ; en politique, nous aimons les tribuns, pas les cow-boys. D'autres lorgnent vers l'Italie, devenue en 2024 le quatrième exportateur mondial derrière la Chine, les États-Unis et l'Allemagne. Cette réussite tient aux choix et aux décisions du parti Fratelli d'Italia, dirigé par Giorgia Meloni, qui, en moins de cinq ans, a redressé la situation économique de son pays.