L'artiste allemand Nils-Udo transforme la nature en œuvres d'art. Entre ses mains, les arbres se transforment en nid, les fleurs en flammes, et les feuilles en arcs-en-ciel.

Tradition et avant-gardisme : à priori tout les oppose. Et pourtant... La culture populaire, ses rites et ses coutumes nourrissent de mille façons l'imaginaire des artistes modernes et contemporains. Une vaste exposition présentée à Metz pou à Marseille explore ces liens méconnus et féconds. Loin, très loin des clichés.

Aurions-nous enfin voulu donner une image allégorique de « la fin du monde », qui court désormais les rues et constitue le dossier de cette "NRF" d'été, nous n'aurions pas osé penser à Notre Dame de Paris. La réalité s'est chargée de le faire au mois d'avril 2019. Et même s'il n'est pas question ici d'interpréter cet événement bouleversant en termes de « fin du monde », reste que chacun y a vu comme la manifestation d'un signe d'époque, quelque signification qu'on lui donne. Non pas certes la fin du monde, mais la fin d'un monde assurément, dont Hugo avait écrit la première phrase.

Réalisée pour l'Exposition universelle de Bruxelles de 1935, "La Salle de culture physique" cristallise la science plastique de Fernand Léger comme la fécondité de sa collaboration avec Charlotte Perriand.

Digne d'un nouveau "Da Vinci Code" ? S'il est admis que les « gueuseries » de Louis, Antoine et Mathieu Le Nain ont une dimension sociale et religieuse, des spécialistes voient aujourd'hui dans ces tableaux du XVIIe une accointance des peintres avec une organisation secrète ultracatholique.

Digne d'un nouveau "Da Vinci Code" ? S'il est admis que les " gueuseries " de Louis, Antoine et Mathieu Le Nain ont une dimension sociale et religieuse, des spécialistes voient aujourd'hui dans ces tableaux du XVIIe une accointance des peintres avec une organisation secrète ultracatholique.