Giuseppe Mulci pousse la porte d un quotidien napolitain. Il est vieux, malade et souhaite faire don de ses yeux, sa seule richesse, de son vivant. Quel est, en fait, son but secret ? Mahmoud Housseni, originaire du Nigeria, a entrepris un pèlerinage à La Mecque avec sa famille. Mais leurs guides les abandonnent sur une île déserte où grouillent des crabes géants. Elle est belle, elle est comtesse. Elle n aime que les très jeunes amants. Mais ce n'est pas leur ardeur qui l intéresse, c est leur sang Par intérêt ou perversion, par vengeance ou par passion, ils tuent Les histoires rassemblées par Jean-François Nahmias et Pierre Bellemare racontent des crimes atroces, nés dans l imagination folle de héros peu ordinaires : les tueurs diaboliques. Suspens, angoisse, horreur parfois Les tueurs diaboliques 51 histoires à couper le souffle

Quand un mari jaloux veut assassiner l'amant de sa femme avec un timbre...... Quand un médecin se retrouve, sans l'avoir voulu, espion international...... Quand, dans un journal, un homme fait paraître des annonces réclamant 1 dollar...... Quand tout l'équipage d'un avion s'endort en vol...... C'est le suspens qui commence. Suspens a d'abord été une émission de Pierre Bellemare sur TF1. C'est aujourd'hui, rassemblées dans un livre, 57 histoires haletantes, racontées à la Bellemare : rapides, variées, toujours passionnantes. 57 histoires de Paris, de New York, de Londres ou d'Helsinki, 57 histoires à couper le souffle.

Un homme en crise raconte son parcours de fils de mineur devenu professeur. A travers ce récit de la conquête des lettres et de la belle langue par un homme d'origine modeste, A.-J. Dubois questionne l'identité sociale. André-Joseph Dubois est né en 1946 à Liège. Il s’est fait connaître grâce à la publication de son roman L’Œil de la mouche, publié chez Balland en 1981. Dans cette œuvre saluée par la presse, André-Joseph Dubois s’est inspiré des théories sociologiques de Bourdieu qu’il a judicieusement transposées au milieu ouvrier wallon. Deux ans plus tard, Dubois publie Celui qui aimait le monde, autre roman dont l’action se déroule en Wallonie mais dont le style se veut moins classique que le premier. Il signe aussi, cette même année, le Manifeste pour la culture wallonne. Il se retire ensuite de la vie littéraire pendant 30 ans, avant de revenir en 2012 avec Les Années plastiques (Weyrich, « Plumes du Coq ») suivi de Le Sexe opposé (2013), Ma Mère, par exemple (2014) et Quand j’étais mort (2017), tous chez le même éditeur. André-Joseph Dubois a été récompensé deux fois par le prix Félix Denayer de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique, pour L’Œil de la mouche, en 1981, et pour Ma Mère, par exemple, en 2014.

Un voyage photographique autour des légendes et des secrets du cinéma à travers un regard inédit, celui des grands photoghraphes. Cet ouvrage nous dévoile les lieux mythiques des plus grands films (lieux devenus cultes), des acteurs légendaires dans leur quotidien de travail (devenus des icônes), des réalisateurs les plus talentueux du XXe siècle, tout ce qui a composé les plus belles légendes du 7e art. Des lieux les plus populaires, aux séquences de pré-production, aux scènes de casting, aux remises de prix, Cinéma Box capture les images des plus grands photographes pour nous dresser une magnifique anthologie photographique du cinéma.

Le libéralisme éclairé comme le marxisme ont soutenu que le christianisme serait, dans la société politique moderne, ou bien totalement accompli (Hegel) ou bien dépassé (Marx). Relisant La philosophie du droit de Hegel, puis les analyses du jeune Marx, l'auteur remonte aux sources de cette dérive et montre comment la parole évangélique vient briser la clôture de l'Etat.

Symbole d'une ville et d'un pays, la Tour Eiffel est également celui du style de l'ère industrielle. Au XXe siècle, Le Corbusier, C. Eames, S. Fujisiro ou P. Rabanne se sont inspirés de G. Eiffel, représentant majeur du mobilier industriel. Le style Eiffel est revisité ici à travers le mobilier mais aussi le design, la mode ou encore l'architecture.

Une étude de l'histoire littéraire construite par les écrivains eux-mêmes. Ce discours, parallèle à l'histoire scientifique, présente des modalités et un contenu spécifiques. Pour en dégager les caractéristiques, les auteurs prennent appui sur les préfaces, les chroniques, les manifestes, les essais formulés par les écrivains, ainsi que les collections qu'ils ont créées.

Né en province en 1877, Jean Mollet débarque à Paris sans un sou. Mais, débrouillard et gentil, il séduit tous ceux qu'il approche. Ainsi, après avoir exercé les métiers de directeur de théâtre, organisateur d'expositions, clerc d'avoué, journaliste, verrier et tant d'autres, connaît-il bientôt le Tout-Paris depuis 1900 jusqu'à nos jours. Mille anecdotes nous sont contées où nous retrouvons pêle-mêle les noms suivants : Apollinaire, Derain, Vlaminck, Braque, Mac Orlan, Marie Laurencin, Picasso, Max Jacob, Jarry, Carco, Cocteau, Blaise Cendrars, Léon-Paul Fargue, etc. Entre la France et la Belgique, il subsiste au jour le jour, réunissant ou ratant mille entreprises avec le même sens de la joie. Mais, grâce à son art de vivre qui sait nier le temps, et par conséquent l'éventualité de vieillir, Jean Mollet parvient à établir un délicieux tableau panoramique de la vie littéraire et artistique du XX

Cinquante portraits de danseurs emblématiques du XXe siècle, classés par ordre chronologique. G. Mannoni retrace la vie et la carrière de chacun d'entre eux et introduit à leur art (Carlotta Zambelli, Isadora Duncan, Anna Pavlova, Vaslav Nijinski, Fred Astaire, etc.).

A l'occasion du 800e anniversaire de la cathédrale de Reims et de l'installation de vitraux de I. Knoebel, cette exposition consacrée au vitraux d'artistes rassemble les oeuvres de M. Chagall, B. Simon, et présente les démarches de contemporains tels que P. Soulages. L'ouvrage interroge notamment la place à accorder à la couleur et à la lumière au sein des architectures vouées à l'art sacré.

Plongée dans l'univers concentrationnaire de la Russie soviétique, décrivant une vie de captivité commencée en 1926, entrecoupée de très courts répits de liberté, et qui reprend au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. D. Vitkovski raconte la déportation en Sibérie, le travail de bagnard dans les îles Solovki, les tortures, les interrogatoires, la peur et la survie.

L'ouvrage pose la question de la place : dans la famille, dans le couple, au travail, dans la société. Il tente ainsi de comprendre comment prendre une place, être à la hauteur de celle-ci ou en changer.