La cathédrale de Monreale, qui fut construite au Moyen Age dans un style romano-byzantin, abrite cinq cycles de mosaïques importantes artistiquement et didactiquement. Elles abordent les thèmes de la Création, l'arche de Noé, Abraham, Jacob, la vie de Jésus, etc. Les auteurs les présentent en s'appuyant sur le contexte culturel, artistique et historique de la Sicile romane.

Grégoire le Grand, dont le pontificat (590-604) est considéré comme le moment fondateur du Moyen Age, était un aristocrate romain qui, ayant l'expérience monastique devient évêque de Rome (Pape). Ses capacités dans des domaines divers (politique, diplomatique, administratif et militaire) font de lui une figure centrale pour tout ce qui concerne le passage de l'Antiquité au Moyen Age.

4 ème de couv. : 'Publié au moment de la plus grande fortune de Gramsci, cet essai a pour point de départ le «paradigme italien», que met au jour une interprétation «transpolitique», c'est-à-dire attentive au parallélisme entre philosophie et politique, de l'histoire du XXe siècle : c'est en Italie que sont nés Giovanni Gentile, philosophe officiel du fascisme (mais qui avait donné, en 1899, le principal commentaire des écrits philosophiques du jeune Marx), et Antonio Gramsci, penseur marxiste sans doute le plus lu après 1945. Del Noce explore l'influence, non reconnue mais bien réelle selon lui, du premier sur le second. Gramsci a pensé le marxisme comme un immanentisme radical et le communisme comme l'«analogue», dans un monde complètement sécularisé, du christianisme médiéval. Mais chez Gramsci, en définitive, «modernité» et «immanentisme» prévalent sur «communisme» et «révolution». Au terme d'un procès vers le nihilisme, la révolution se renverse en dissolution et s'appelle «contestation». Parodie de l'intellectuel organique gramscien, le démystificateur contemporain n'est en fait qu'un gardien du nihilisme chargé d'assister le «suicide de la révolution» et le maintien du statu quo sous le masque de la transgression par injonction. Et le gramscisme, qui a renoncé à la mentalité messianique, est condamné à finir en «permission révolutionnaire» de conserver toutes les habitudes et tous les préjugés intellectuels hérités des Lumières. Bien qu'appartenant pleinement à la «génération du Ventennio», Augusto Del Noce (1910-1989) n'adhéra pas au fascisme. Marqué par les «philosophes de l'existence» et par Maritain, il prit part à la Résistance et entama à la fin de la guerre un long dialogue avec les intellectuels communistes. Ce penseur inclassable, longtemps tenu à l'écart, participa cependant à tous les grands débats italiens de l'après-guerre. Il est aujourd'hui reconnu comme l'un des

Les chrétiens du Kurdistan relèvent des Eglises assyrienne, chaldéenne, syrienne catholique et syrienne orthodoxe. M. Galletti analyse l'histoire de ces communautés depuis l'Antiquité jusqu'à aujourd'hui. Elle donne la parole à 17 personnalités chrétiennes qui témoignent de la richesse culturelle, de la vitalité, des épreuves et des fragilités de ces communautés chrétiennes.

Aristocrate romain passé par l'expérience monastique, Grégoire devint évêque de Rome en 590. Le pape Grégoire est amené à réfléchir sur les « nouveaux saints » et à faire oeuvre d'hagiographe. Sofia Boesch Gajano analyse l'apport de Grégoire le Grand dans l'histoire de l'hagiographie, la forme de ses "Dialogues" permettant d'exposer un enseignement moral, théologique et apologétique. En réunissant dans cet ouvrage le fruit d'années de recherches et d'échanges avec ses confrères universitaires sur la vie religieuse, quotidienne et culturelle de l'époque de Grégoire le Grand, elle se positionne résolument dans le courant de redécouverte du pape Grégoire et de réhabilitation des "Dialogues" : Grégoire et son oeuvre occupent une place charnière dans l'histoire de l'hagiographie et dans l'histoire religieuse de l'Occident médiéval.

Ce troisième et dernier volume introduit à l'avènement de l'Eglise. Il y propose à la réflexion les critères fondamentaux mesurant sa réalité de communauté humaine des croyants. En conclusion, l'ouvrage contient un chapitre sur Marie, grâce à qui l'Incarnation est un fait survenu.

Grégoire le Grand, dont le pontificat (590-604) est considéré comme le moment fondateur du Moyen Age, était un aristocrate romain qui, ayant l'expérience monastique devient évêque de Rome (Pape). Ses capacités dans des domaines divers (politique, diplomatique, administratif et militaire) font de lui une figure centrale pour tout ce qui concerne le passage de l'Antiquité au Moyen Age.