Mise en parallèle des oeuvres de Picasso et de Cézanne qui fait ressortir leurs génies respectifs, les convergences comme les divergences, leurs références majeures, ainsi que les sources de réflexion et de méditation du peintre espagnol à propos de ce "père" en peinture qu'il s'est choisi. Le catalogue de l'exposition.

Une exposition qui cherche à replacer l'art du portrait de "cour" chez Warhol au coeur de sa réflexion sur l'image à l'ère de la consommation de masse, et bien loin du pop art réducteur. Warhol remit le travail du portrait à la mode à partir de 1972 : ce seront 600 portraits produits en l'espace de 14 ans, avec un processus célèbre mis en place dans son atelier sous le nom de Factory.

Placer en perspective la production céramique des principaux centres européens depuis la fin du XVIIIe siècle et jusqu'à l'époque contemporaine, c'est le but que se propose cette exposition. Réalisée à la demande du député-maire de Limoges, elle a été organisée par le musée national de Porcelaine Adrien Dubouché et la Réunion des musées nationaux. Quatre cent cinquante objets permettent de constater que cet art, qui fabrique aussi bien des objets utilitaires que des objets décoratifs très sophistiqués, a suivi dans toute l'Europe les principaux courants artistiques. Les nombreuses concordances que l'on découvre au fil de la visite prouvent, s'il en était besoin, l'existence depuis plusieurs siècles de tendances esthétiques communes à toute l'Europe.

Cent cinquante pièces d'argenterie et meubles en argent (miroirs, lustres, torchères...) issues des cours européennes de l'époque de Louis XIV. Elles recréent l'ambiance fastueuse des "soirées d'appartement" que donnait le roi trois fois par semaine.

Les portraits cultes du travail que Warhol remit à la mode à partir de 1972 : ce seront 600 portraits produits en l'espace de 14 ans, avec un processus célèbre mis en place dans son atelier sous le nom de "Factory".

A travers plus de 200 oeuvres, une iconographie de la mélancolie dans l'art, de la douceur à la furie, considérée depuis l'Antiquité jusqu'au romantisme et au postmodernisme comme un signe du génie des artistes.

Près de 150 oeuvres d'art et objets illustrant les différents types de voyages entrepris au Moyen Age par des pèlerins, des explorateurs, des conquérants, des artistes itinérants, des souverains, des lecteurs de fictions, etc. Electre 2015

James Ensor (1860-1949) est sans doute la figure la plus originale de la peinture belge de la fin du XIXe siècle. Grand maître de la lumière qu'il approche dans un esprit opposé exact de celui des impressionnistes, ses contemporains, il développe un univers particulier dans lequel masques et squelettes contribuent à la réinvention d'un monde sans doute jugé trop fade, trop étriqué, trop mesquin. Il invente également un art inclassable dans lequel se succèdent de grandes pages lyriques et mystiques et de petits panneaux caustiques, macabres, absurdes, méchants qui flirtent avec les moyens de la caricature. Conscient tout à la fois de sa singularité, de son talent et de l'incompréhension qu'il provoque, James Ensor crée une oeuvre dont il est le centre et dont sa maison-magasin comme sa ville natale d'Ostende constituent les limites aussi infinies que bornées.

Réunit les collections d'art Cham les plus riches au monde. Les oeuvres proposées sont issues des musées de Da Nang et de Hô Chi Minh ville (Vietnam). Le document présente l'histoire de cette expression majeure de l'Asie du Sud-Est, à travers l'architecture religieuse, les nouvelles découvertes au Vietnam ou le décor architectural.

Les peintures, dessins et aquarelles présentés dans ce catalogue montrent l'étendue du talent de John Constable, l'une des figures de la peinture européenne du début du XIXe siècle. Les oeuvres reproduites ici montrent que ce peintre anglais exerçait son art aussi bien comme portraitiste que comme paysagiste. (Livres Hebdo)