Ce catalogue propose un panorama des représentations du corps masculin dans l'art, depuis la sculpture antique jusqu'à l'art contemporain. A travers un corpus de plus de 300 oeuvres peintes, sculptées ou photographiques, le nu masculin est exploré sous les angles de l'esthétique, de l'histoire, de la sociologie et de la politique.

Evocation de lavant-garde artistique hongroise du début du XXe siècle dont limpulsion créatrice vient de grandes personnalités artistiques et intellectuelles comme Béla Bartok, Georges Lukacs ou Lajos Kassak. Avec un focus sur les liens étroits avec les artistes français, en particulier les fauvistes.

Un parcours dans les collections du musée d'Orsay, à travers la présentation de ses oeuvres maîtresses dans les domaines de la sculpture et de la peinture mais également dans ceux de la photographie et des arts décoratifs. L'ouvrage comprend les plans du musée.

Etude comparée des influences réciproques d'Auguste Rodin et Eugène Carrière, deux figures du symbolisme français. Le catalogue confronte peinture et sculpture à travers la présentation d'une centaine d'oeuvres des deux artistes, dont de nombreuses pièces inédites.

Publié à l'occasion de l'exposition qui se tiendra été 2007 au musée d'Orsay, l'ouvrage présente une cinquantaine de projets architecturaux dessinés à l'occasion des expositions universelles de Paris. Cette collection provenant du musée et du fonds Eiffel permet d'illustrer l'imagination des architectes, la diversité des édifices et de rendre la vie à certaines réalisations.

James Ensor (1860-1949) est sans doute la figure la plus originale de la peinture belge de la fin du XIXe siècle. Grand maître de la lumière qu'il approche dans un esprit opposé exact de celui des impressionnistes, ses contemporains, il développe un univers particulier dans lequel masques et squelettes contribuent à la réinvention d'un monde sans doute jugé trop fade, trop étriqué, trop mesquin. Il invente également un art inclassable dans lequel se succèdent de grandes pages lyriques et mystiques et de petits panneaux caustiques, macabres, absurdes, méchants qui flirtent avec les moyens de la caricature. Conscient tout à la fois de sa singularité, de son talent et de l'incompréhension qu'il provoque, James Ensor crée une oeuvre dont il est le centre et dont sa maison-magasin comme sa ville natale d'Ostende constituent les limites aussi infinies que bornées.

Spencer et Marlene Hays sont un couple d'amateurs d'art américains passionnés de culture française. Durant plusieurs décennies, ils ont réuni des oeuvres d'art du XIXe et du début du XXe siècle appartenant aux courants nabi, symboliste, à la période impressionniste et à la naissance des avant-gardes. Présentation de cette collection à travers des reproductions et essais de spécialistes.

L'artiste danois Jens Ferdinand Willumsen demeure méconnu en France bien qu'il y ait effectué de nombreux séjours et qu'il ait côtoyé Paul Sérusier, Maurice Denis, Van Gogh et Gauguin. Il s'intéresse à la peinture, à la sculpture, à la photo ou à la céramique et évoluera du naturalisme au symbolisme jusqu'à l'expressionnisme. L'exposition traite de l'ensemble de ses techniques et de son oeuvre.

Les collections de photographie du Musée d'Orsay témoignent de l'évolution de la photographie internationale de 1850 à 1915 et permettent de comprendre comment, de Nadar à Stieglitz, ces artistes ont su exprimer au moyen de la lumière la personnalité de ceux qu'ils ont photographiés.

Présente l'ensemble des arts russes (peinture, sculpture, arts décoratifs, arts graphiques, architecture et photographie) de la seconde moitié du XIXe siècle à la fin du régime tsariste en 1917.

Le peintre Millet représentait pour Van Gogh, comme pour d'autres artistes de la génération des années 1880, un artiste mythique. L'exposition analyse cette filiation en étudiant les divers aspects de la présence de Millet dans l'oeuvre de Van Gogh.

Cette synthèse présente les principaux chefs-d'oeuvre des collections photographiques du musée d'Orsay et fait le point sur le fonds du musée, consacré à la photographie au XIXe siècle et au début du XXe.

Rassemble 230 sculptures provenant de trois musées parisiens et datant de périodes différentes pour les confronter autour d'un mot ou d'une idée (taille directe, geste, idole, empreinte, toucher, porter, ready-made, voile, ligne serpentine, pieds, femmes, équilibre...). Avec des notices biographiques en fin d'ouvrage.

Marquée par les formes de l'art populaire et l'art brut de Dubuffet, A. Messager crée, avec des matériaux usuels et familiers en collectant images, sensations et choses du quotidien. La maquette du quartier de l'Opéra qu'elle a choisie pour l'exposition rappelle son attachement à la notion de circulation, forme de revigoration de l'oeuvre, comme le sont les circulations organiques.

Crimes, prisons, décapitations, autant de thèmes qui parcourent l'art depuis la Révolution française. Qu'il soit politique ou crapuleux, le crime de sang décuple par l'image sa puissance fantasmatique. De Goya à Grosz en passant par Delacroix, une exploration de la représentation du crime dans l'art.

Objet de métamorphoses destinées à dissimuler le visage à des fins cosmogoniques, religieuses ou théâtrales dans les sociétés anciennes, le masque connut, en Europe, notamment en France, un renouveau et un succès considérable à la fin du XIXe siècle et au début du XXe. Cette exposition rassemble des oeuvres majeures, de Rodin, Carriès, Khnopff, Klinger, Gauguin, Picasso, etc.

C'est vers Claude Monet et sa série des Cathédrale de Rouen (1892-1893) que François Morellet s'est tourné. Mais plus que la construction ou la simplicité, c'est l'emploi des systèmes qui aura été sa grande obsession.

Histoire du développement de cette branche de l'art qu'est la décoration intérieure. Revient sur la contribution de décorateurs comme Percier et Fontaine, instigateurs du style Empire, les atmosphères de Félix Duban, Antoine Zoegger, Henry Van de Velde ou encore George Niedecken, insistant sur la personnalité des maîtres du décor (Eugène Lami, Jules Allard, etc.).

Le catalogue d'exposition rassemble une série de clichés et de peintures réalisés par des voyageurs dans l'Italie du XIXe siècle. Il retrace l'évolution de la conception du paysage, de l'architecture, de l'art et de la population de l'Italie jusque là transmise par les Beaux-arts traditionnels (dessin, sculpture, etc.).

Jeff Wall, artiste contemporain, photographe, choisit La femme à la cafetière de Cézanne comme correspondance et point de départ d'une oeuvre inédite.

Véritable redécouverte de cet artiste à travers une grande rétrospective rassemblant une centaine de tableaux, ce qui au regard du grand nombre d'oeuvres peintes par cet artiste constitue une sélection particulièrement rigoureuse.

La première rétrospective de l'oeuvre de Monet depuis celle de 1980. L'ouvrage propose une dizaine de fils conducteurs qui ont constitué la trame de son oeuvre : nature et nation, rêve et réflexion...

Publié à l'occasion d'une exposition organisée d'octobre 2007 à janvier 2008, l'ouvrage présente la collection de dessins d'Odilon Redon du Musée d'Orsay conservée au département des arts graphiques du Musée du Louvre. Les oeuvres se fondent sur l'interprétation des mythes classiques et orientaux et mêlent l'étrange et le grotesque.

Marqué par Newman et Rothko, R. Mangold, artiste américain, pose dans son oeuvre la question de la monumentalité de la peinture et de l'immédiateté de son impact. Ses toiles sont le plus souvent monochromes et de vastes dimensions. Invité par le Musée d'Orsay, il a choisi les bois de la Maison du jouir, sculptés par P. Gauguin pour sa case à Atuana, Tahiti.