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Èjzenštejn, Sergej Mihajlovič (1898-1948)

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La cinémathèque de Toulouse propose une série de manifestations sur le "Cinéma stalinien", avec en particulier la présentation de films rarement vus en France du réalisateur Sergueï Eistenstein. L'occasion de suivre l'itinéraire de cet homme paradoxal qui, encensé par la critique officielle pour de fabuleuses oeuvres de propagande, fut aussi un adversaire du totalitarisme.
Numéros de page :
/ p. 94-99

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Où l'on découvre que derrière le cinéaste officiel souffrait un homosexuel qui trouva dans l'érotisme et la pornographie un exutoire au puritanisme communiste.
Numéros de page :
/ p. 120

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Il y a quatre-vingts ans, un coup de génie d'Eisenstein
Au théâtre Bolchoï de Moscou, le 21 décembre 1925, était projeté pour la première fois "Le Cuirassé "Potemkine"", deuxième long-métrage de Sergueï Mikhaïlovitch Eisenstein, jeune cinéaste de 27 ans remarqué pour sa nouvelle théorie du montage. C'était un film de commande destiné a commémorer la révolution de 1905, annonciatrice de celle d'octobre 1917.
Numéros de page :
1 p. / p. 30
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Liège - B3 Musique et Cinéma - étage 3 791 BIO EISENSTEIN A Disponible
Année de parution :
2019
La première partie de cet ouvrage comprend une édition critique de la conférence qu'Eisenstein prononça à l'exposition Film und Foto de Stuttgart, en 1929. La seconde définit le constructivisme tout en le situant dans son contexte politique et culturel, puis analyse les liens qu'Eisenstein a entretenus avec ce mouvement d'avant-garde. ©Electre 2020
Editeur :
Collection :
Images, médiums
Importance matérielle :
1 vol. (474 p.) : ill. : 22 cm
9788869762048
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Date parution pério
2015-01-01
Il existe une photo de 1930 où Eisenstein et Chaplin, qui se sont connus à Los Angeles, lors du voyage du cinéaste soviétique aux Etats-Unis, jouent avec leur raquette de tennis comme sur une balalaïka ou un banjo. Au sommet de leur gloire, les deux réalisateurs étaient encore dans les années 50 ceux sur lesquels on écrivait le plus, et certaines des premières monographies de metteurs en scène (Jean Mitry en particulier pour les deux) leur étaient consacrées.
Numéros de page :
22 p. / p. 88-96, 98-111