Èjzenštejn, Sergej Mihajlovič (1898-1948)
Article
Auteurs
Bulletin : <>Histoire 243 - mai 2000
La cinémathèque de Toulouse propose une série de manifestations sur le "Cinéma stalinien", avec en particulier la présentation de films rarement vus en France du réalisateur Sergueï Eistenstein. L'occasion de suivre l'itinéraire de cet homme paradoxal qui, encensé par la critique officielle pour de fabuleuses oeuvres de propagande, fut aussi un adversaire du totalitarisme.
Article
Auteurs
Bulletin : Le Nouvel observateur 01827 - novembre 1999
Où l'on découvre que derrière le cinéaste officiel souffrait un homosexuel qui trouva dans l'érotisme et la pornographie un exutoire au puritanisme communiste.
Article
Il y a quatre-vingts ans, un coup de génie d'Eisenstein
Auteurs
Bulletin : Le Monde diplomatique 621 - décembre 2005
Au théâtre Bolchoï de Moscou, le 21 décembre 1925, était projeté pour la première fois "Le Cuirassé "Potemkine"", deuxième long-métrage de Sergueï Mikhaïlovitch Eisenstein, jeune cinéaste de 27 ans remarqué pour sa nouvelle théorie du montage. C'était un film de commande destiné a commémorer la révolution de 1905, annonciatrice de celle d'octobre 1917.
Détails
Numéros de page :
1 p. / p. 30
1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
Auteurs :
Année de parution :
2019
La première partie de cet ouvrage comprend une édition critique de la conférence qu'Eisenstein prononça à l'exposition Film und Foto de Stuttgart, en 1929. La seconde définit le constructivisme tout en le situant dans son contexte politique et culturel, puis analyse les liens qu'Eisenstein a entretenus avec ce mouvement d'avant-garde. ©Electre 2020
Détails
Editeur :
Collection :
Images, médiums
Importance matérielle :
1 vol. (474 p.) : ill. : 22 cm
9788869762048
Veuillez vous connecter pour réserver
Article
Bulletin : Positif 647 - janvier 2015
Date parution pério
2015-01-01
Il existe une photo de 1930 où Eisenstein et Chaplin, qui se sont connus à Los Angeles, lors du voyage du cinéaste soviétique aux Etats-Unis, jouent avec leur raquette de tennis comme sur une balalaïka ou un banjo. Au sommet de leur gloire, les deux réalisateurs étaient encore dans les années 50 ceux sur lesquels on écrivait le plus, et certaines des premières monographies de metteurs en scène (Jean Mitry en particulier pour les deux) leur étaient consacrées.