Face à la réalité de la mort, l'homme use de rituels d'apaisement, adressés tant aux autres qu'à lui-même. Parmi ces rituels, la rédaction d'une « poésie d'avant la mort » est une tradition littéraire encore vivante en Extrême-Orient. C'est autour du jisei, poésie japonaise de type haïku, représentative de cette tradition que le présent ouvrage se développe. Les poèmes du seuil de la mort attestent des vertus inégalées de la Voie de la poésie. Généralement gracieux, naturels et émotionnellement neutres, conformément aux enseignements du bouddhisme et du shintô, ils transmettent un dernier salut esthétique et sentimental. Discrets, mais exprimés avec détermination et conviction, les registres d'émotions qui y résident couvrent tout le champ des possibles. Ce sont quatorze siècles de telles aventures poétiques qui sont réunis ici. Pierre Reboul se présente ici dans une double appartenance. Amateur et auteur reconnu de haïkus, il a publié aux Éditions Sully Un désir de haïku consacré à l'analyse des formes de ce type de poésie. Par ailleurs, depuis de longues années, il est acteur engagé dans le mouvement des soins palliatifs français et auteur à ce titre de nombreux articles et ouvrages sur l'écoute et sur l'accompagnement des personnes en fin de vie et de leur famille.

L'historienne s'est livrée à une enquête pour découvrir l'histoire des reliques françaises dont la possession suscite la convoitise. A travers le destin du crâne de Descartes, de la côte de Jeanne d'Arc ou du corps de Napoléon, elle livre avec humour le fruit de ses recherches sur ces reliques qui incarnent autant de morceaux tragiques ou héroïques de l'histoire de France. ©Electre 2020

Un récit émouvant dans lequel l'écrivaine évoque ses rencontres avec la mort, qu'il s'agisse de celle de la chienne adorée de sa fille ou encore de la disparition de personnalités qui ont partagé ses combats, ses indignations et ses engagements en faveur des femmes et de l'écologie, telles que Marceline Loridan, Maurice Clavel, Honoré, dessinateur à Charlie Hebdo, Philippe Sollers, notamment.

Cette biographie du coureur cycliste retrouvé mort d'une overdose à Rimini en 2004, est une contre-enquête qui suit la thèse du juge Paolo Gengarelli, écartant la piste de l'ancien champion dépressif et toxicomane pour se concentrer sur l'hypothèse criminelle. Examine le dessous des courses et l'affaire de dopage à laquelle M. Pantani était mêlé depuis son bannissement du Tour d'Italie en 1999.