En dépit du développement des politiques d'égalité qu'illustre le vote de la loi du 4 août 2014 qui vise à combattre les inégalités entre femmes et hommes dans les sphères privée, professionnelle et publique, ces dernières persistent, la fonction publique ne faisant pas exception. Majoritaires au sein de la fonction publique d'Etat, les femmes n'étaient en 2011 que 26,5% des cadres à y occuper des fonctions d'encadrement et de direction.

Le Conseil national du droit cherche des leviers pour accroître la mixité sociale et de genre

Lorsque la main-d'oeuvre vient à manquer ou si elles doivent s'installer dans "les quartiers" alors les entreprises se montrent beaucoup moins racistes.

Bilan à l'été 2015 sur l'évolution 2014 des salaires dans le secteur de l'édition en France. Selon le rapport social de branche, les maisons d'édition ont permis une augmentation de 1 à 3% du salaire de leurs collaborateurs en 2014. Une avancée qui masque toutefois une inégalité marquée entre les rémunérations des hommes et des femmes. Ces dernières se voient souvent attribuer des responsabilités importantes pour une moindre rémunération. Le bilan est également à nuancer selon le statut de l'éditeur (indépendant, groupe, petite maison d'édition).

Parce que le racisme à l'embauche ou au logement commence souvent au simple énoncé d'un patronyme d'origine maghrébine, ils sont de plus en plus nombreux à vouloir une nouvelle identité.

Seules 12,1 % des femmes occupent des postes à responsabilité dans la fonction publique, alors qu'elles représentent 58 % es fonctionnaires selon une étude officielle parue le 20 septembre 2005. Ce n'est pas le seul domaine où l'Etat contribue aux dicriminations. Au nom d'accords internationaux, certaines Françaises d'origine étrangère se voient refuser l'application du droit national en ce qui concerne le statut personnel.