La pandémie de Covid-19 a fait plus de 6,8 millions de morts dans le monde. Pour contrer la propagation du virus, des mesures parfois ressenties comme violentes se sont imposées à la population générale : confinement, isolement, gestes barrière. Ces principes sont bien connus des professionnels de santé.

Très régulièrement des recommandations sont publiées à l’attention du grand public pour déterminer la dose nécessaire d’activité physique par jour ou par semaine pour assurer le maintien d’une bonne santé. Pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il faut ainsi faire 150 minutes de sport par semaine. Pourquoi ne faut-il pas trop s’y fier ?

Ils souffrent de diabète, de migraines... et ils le font savoir sur les réseaux, réunissant parfois de nombreux followers. Au point de susciter l'intérêt des laboratoires pharmaceutiques, avec lesquels certains influenceurs nouent des partenariats. Certes, une récente loi encadre davantage ces pratiques, mais faut-il s'inquiéter du phénomène ?

La journée mondiale de lutte contre l'accident vasculaire cérébral (AVC), le 29 octobre, est l'occasion pour les spécialistes d'insister sur la nécessaire sensibilisation aux signes avant-coureurs. Afin d'éviter une prise en charge trop tardive et des séquelles lourdes. Car des traitements existent, d'autant plus bénéfiques qu'ils sont administrés tôt. Ainsi que des pratiques de rééducation post-AVC. 6 d'entre elles sont proposées en conclusion de l'article.

L’insomnie est aujourd’hui considérée comme un trouble à part entière, avec une évolution propre, en lien ou non avec une pathologie causale. En santé mentale, elle concerne plus de la moitié des patients et devrait donc faire l’objet d’une évaluation systématique. Le traitement de la plainte d’insomnie permet d’atténuer les rechutes, d’éviter la chronicisation de la pathologie, de diminuer les symptômes de dépression et d’anxiété ou encore les expériences psychotiques. Le point sur…