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Gabriel Mamani Magne

05 juin 2025
Numéros de page :
pp.78-79
Roberto Bolano est mort. Ricardo Piglia est mort. Même Mario Vargas Llosa a fini par mourir. Il y a des places à prendre dans la littérature sud-américaine. Même pour la Bolivie ? Même pour la Bolivie, répond Gabriel Mamani Magne avec "Séoul, Sao Paulo", un premier roman (après un livre de littérature jeunesse, qu'il préfère aujourd'hui "ne pas prendre en compte'') écrit il y a déjà six ans et aujourd'hui traduit en français par les éditions Métailié.