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Estampe en noir et blanc
Auteurs :
Editeur :
Année de parution :
2024
1 est. : noir et blanc : 27,5 x 19 cm hors cadre
2 dames assises sur des chaises, 2 dames debout derrière, dans un intérieur de maison
Note Générale : Nicolas Mayné (1974)
Après avoir obtenu un Master en Art Visuel et de l’Espace,
option Illustration et BD à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles, Nicolas Mayné (1986) a suivi divers cours du soir pour compléter sa formation. Ce touche-à-tout travaille la reliure, le livre d’artiste, la poésie, le pop-up, mais surtout la gravure (membre de l’atelier KASBA depuis 2017).
Il est professeur à l’École des Beaux-Arts de Wavre (en art pluridisciplinaire pour les enfants, et en gravure pour les adultes)
Henriette et ses dames
« La technique qui me donne le plus de plaisir est la pointe sèche. J’aime la gravité du noir se mêlant à la délicatesse du trait qui lui est si spécifique. Armé de mes pointes et de ma roulette, je bâtis généralement l’image par addition (là où je grave, ça devient plus foncé), pour ensuite, aidé de mes grattoirs et brunissoirs, travailler les détails par soustraction (en éclaircissant, à la façon d’une manière noire). » (Nicolas Mayné)
« Nicolas peuple ses histoires d’humains croqués comme des bêtes curieuses avec ce ton à la fois ironique et tendre » (Stéphane Ebner)
In Actuel, l’estampe contemporaine, n°32, automne 2024
Après avoir obtenu un Master en Art Visuel et de l’Espace,
option Illustration et BD à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles, Nicolas Mayné (1986) a suivi divers cours du soir pour compléter sa formation. Ce touche-à-tout travaille la reliure, le livre d’artiste, la poésie, le pop-up, mais surtout la gravure (membre de l’atelier KASBA depuis 2017).
Il est professeur à l’École des Beaux-Arts de Wavre (en art pluridisciplinaire pour les enfants, et en gravure pour les adultes)
Henriette et ses dames
« La technique qui me donne le plus de plaisir est la pointe sèche. J’aime la gravité du noir se mêlant à la délicatesse du trait qui lui est si spécifique. Armé de mes pointes et de ma roulette, je bâtis généralement l’image par addition (là où je grave, ça devient plus foncé), pour ensuite, aidé de mes grattoirs et brunissoirs, travailler les détails par soustraction (en éclaircissant, à la façon d’une manière noire). » (Nicolas Mayné)
« Nicolas peuple ses histoires d’humains croqués comme des bêtes curieuses avec ce ton à la fois ironique et tendre » (Stéphane Ebner)
In Actuel, l’estampe contemporaine, n°32, automne 2024
Note sur la description matérielle : pointe sèche et roulette sur cuivre