La victoire de Mahmoud Ahmadinejad a suscité une forte vague de contestation à Téhéran. Les partisans de son rival réformateur Mir Hossein Moussavi ont réclamé une annulation du scrutin en invoquant des fraudes massives. Le régime reculera-t-il ? Au moment où nous mettons sous presse, la confrontation se durcit dans la rue

La distinction n'est pas immédiatement perceptible.

Elle est instruite, elle a soif de consommation et de libertés. Comme l'ont montré les « printemps arabes » de 2011 et les récents mouvements protestataires en Turquie et au Brésil, la classe moyenne bouscule le pouvoir et les élites dans les pays émergents. Selon le philosophe et économiste américain Francis Fukuyama, ces nouvelles révolutions démocratiques pourraient bien bouleverser l'ordre du monde. D'autres sont moins convaincus. En Chine, selon un blogueur influent, cette classe est « à l'avant-garde de la consommation, mais à l'arrière-garde de la politique ».

Une partie de la gauche s'insurge contre son projet de loi, censée assouplir le marché de l'emploi et réduire le chômage. Les manifestations se succèdent, la ministre tient bon.

Depuis qu'il a débuté Nuit Debout, le rédacteur en chef de "Fakir" et réalisateur de "Merci patron !" est sur tous les fronts. Portrait d'un journaliste-activiste tombé tout petit dans "la presse dissidente".

Rencontre avec la BiblioDebout, la bibliothèque éphémère et participative du mouvement Nuit debout née au sein du collectif SavoirsCom1.

De Paris à Montpellier en passant par Pau, le mouvement prend racine. Sommaire. Tolbiac. L'insurrection qui tient. Montpellier III Paul Valéry, c'est le temps des cerises.