Un inédit de Stefan Zweig, véritable bijou, paraît en librairie, accompagné du dernier tome de sa correspondance. Les dix dernières années de la vie de l'écrivain viennois, jusqu'à son suicide avec sa femme, au Brésil, le 23 février 1942

Son Voyage dans le passé, court récit d'une passion, est l'un des succès de l'automne. Plus de soixante ans après sa mort, le romancier autrichien, à défaut d'être le plus grand, reste le chouchou du public français.

Une sublime nouvelle inédite de Stefan Zweig interroge notre résistance à la réalité la plus dure, thème récurrent du dernier tome de sa correspondance, avant son suicide

De nouvelles éditions en série : l'écrivain viennois n'a jamais tant séduit. Parce qu'il fut le témoin lucide du monde d'hier. Parce que son oeuvre, magistral traité des passions, livre aussi des clefs de celui d'aujourd'hui.

Entre 1927 et 1938, les deux écrivains viennois entretiennent une correspondance, enfin traduite en français. Un formidable témoignage sur une Europe au bord du gouffre et sur une amitié exigeante.

La correspondance entre Stefan Zweig et Joseph Roth, planche de salut provisoire pour les deux Juifs autrichiens témoins et victimes du naufrage de leur époque.

L'écrivain du ″Monde d'hier″ n'a jamais été autant lu. Sa biographe Dominique Bona s'interroge sur ce cas étrange d'immortalité.

L'écrivain, qui fut follement populaire en son temps, redevient plus que jamais d'actualité.

Enfant de Vienne la cosmopolite, Stefan Zweig n'était pas seulement le maître de la nouvelle psychologique, le grand écrivain des passions destructrices. Il fut également un ardent promoteur de l'idée européenne, qui rêvait d'étendre le « mythe habsbourgeois » à un continent déchiré par les nationalismes et la Grande Guerre. L'histoire le décevra : désespéré par la geste hitlérienne et l'effondrement des valeurs qu'il défendait, l'auteur de "La Confusion des sentiments" choisit de se donner la mort en février 1942, plutôt que de survivre dans un monde désolé. Sommaire. L'homme et l'écrivain.

Serge Niémetz et Dominique Bona racontent la vie de cet enfant littéraire du siècle. De l'Autriche au Brésil il fut le héraut et le paria d'une Europe à la dérive. Son "roman vrai" est un chef-d'oeuvre.

Un essai de George Prochnik sur l'exil de Stefan Zweig paraît en même temps que le dernier tome de sa correspondance avec Romain Rolland.