Parce qu'elles avaient accompagné la marche du IIIe Reich, ces chansons populaires étaient devenues taboues. Les Allemands sont en train de se les réapproprier. Décryptage.

N'enterrons pas, avec la dépouille du héraut de la révolution d'Octobre, la seule chose à garder de lui : la foi dans le changement.

Taipei comme Pékin célèbrent cette année 2011 le bicentenaire de la chute de l'empire des Qing. Le rapprochement entre les deux frères ennemis favorise un engouement populaire pour cette période de l'Histoire.

Il y a six ans, le gouvernement de Robert Fico (2006-2010) avait considérablement dégradé les relations de la Slovaquie avec la Hongrie. Après sa nouvelle victoire aux législatives, samedi, va-t-il poursuivre la même politique ?

Le point commun entre les habitants du Vermont et ceux de Caroline du Sud ? Ils se détestent. Un siècle et demi après la guerre de Sécession, les divisions politiques et culturelles perdurent.

Pour obtenir la nationalité britannique, les candidats vont devoir se soumettre à un examen sur l'histoire et la culture du Royaume-Uni, Monty Python compris.

Si les médias français n'ont pas voulu faire de la victoire des Bleus lors de la Coupe du monde un symbole national, ce n'est pas le cas de ce journal conservateur allemand, qui estime que le sport est un reflet de la société.

La question est cruciale : face aux grands défis de notre époque, l'identité de la nation mérite une réflexion approfondie. Or le sujet divise bien plus qu'il ne rassemble. Ce qui devrait être le ciment de notre "vivre ensemble" est devenu une ligne de fracture. Hors des postures partisanes, L'Express rouvre le débat. Sommaire. "Ce qui fait la France, ce n'est pas un territoire". Noces en bleu, blanc, rouge. "Insaisissable identité". Une nation peu reconnaissante.

Dans les années 1960, les quatre de Liverpool ont fait irruption dans la culture populaire, chamboulant tout sur leur passage. Qu'on les aime ou qu'on les déteste, c'est autour d'eux que s'est construite l'identité de toute une génération.

Le symptôme identitaire devrait nous conduire à renverser les problématiques contemporains sur les possibilités d'un vivre-ensemble : reformuler un nouveau contrat social à partir de l'individu est encore une impasse ; mieux vaut imaginer un avenir commun à partir d'une société d'emblée existante.

L'"identité heureuse" existe. Nous l'avons rencontrée au Canada, où le Premier ministre incarne un modèle parfois déconcertant.

A l'approche du référendum sur le Brexit, le 23 juin 2016, le Royaume-Uni compte les points. Derrière les débats enflammés se dresse l'identité irréductible des Britanniques. Sommaire. Should they stay or chould they go ? Le Spleen de Cambridge. Business as usual. "L'Europe ne symbolise plus la réussite"