L'intérieur du nouveau Musée du design de Londres, cathédrale géométrique et lumineuse chaudement tapissée de chêne clair, tient plus de l'hôtel de luxe que de la foire-exposition. Ouvert il y a un peu moins d'un an, en novembre 2016, le lieu, niché dans le quartier chic de Kensington, est déjà un phénomène par son succès : 700 000 visiteurs l'ont découvert et apprécié en moins d'un an.

Si Londres est devenue l'un des bastions du design mondial, c'est grâce à ces quartiers populaires de l'est de la capitale. Dans d'anciennes usines et fabriques désaffectées, une nouvelle génération redouble d'audace, mêlant savoir-faire traditionnel et technologies de pointe. Rompant avec l'image classique du designer, ces "makers" conçoivent et fabriquent eux-mêmes leurs objets. Un esprit "Do it Yourself" qui doit beaucoup à la modestie des lieux. Mais que la gentrification galopante pourrait menacer.

Designers, décorateurs ou éditeurs, ces Français ont choisi d'exporter l'élégance et la décontraction hexagonales à Londres. Une bonne manière aussi pour eux de toucher une clientèle internationale.

A la veille de la sortie de son disque le plus ambitieux, "Jazz Magazine" a rencontré ce pianiste et producteur en pleine ascension pour évoquer son parcours, l'éclectisme de ses influences et son évolution musicale fulgurante.

Mais que se passe t-il à Londres ? Voici bientôt cinq ans que la capitale britannique produit certains des musiciens les plus novateurs du monde du jazz. Il était temps d'en dresser un bilan pour présenter les plus importants d'entre-eux. Histoire, portraits, guide d'écoute : tout ce qu'il faut savoir sur cette nouvelle vague passionnante.

Il y a 6000 ans environ, les populations de Grande-Bretagne utilisaient du quartz, un matériau rare dans cette partie de l'Europe, pour fabriquer des objets destinés à accompagner les défunts. À une époque où le verre n'existait pas, le minéral avait sans doute un caractère sacré.

Le joyau de la flotte de la couronne d'Angleterre coulé au XVIe siècle, renfloué en 1982 et exposé à Portsmouth, se détériore malgré les soins qui lui sont apportés. Mais grâce à la tomographie à rayons X, un nouveau traitement pourrait être efficace contre les bactéries qui rongent le navire.