Les Français aiment les documentaires d’histoire. En 2024, sur France Télévisions, ils sont plus de 19 millions à en regarder chaque mois. Si l’histoire contemporaine – Seconde Guerre mondiale en tête – est largement majoritaire dans les productions, l’offre s’élargit toujours davantage, notamment grâce à l’animation. Et dans tout cela, quel est le rôle de l’historien et de ses archives ?

Historien de la IVe République, pionnier de l’histoire culturelle, il était de l’équipe fondatrice de "L’Histoire" en 1978. Il est mort le 6 décembre 2024.

A l’heure où enthousiasme et méfiance rivalisent face au développement de l’intelligence artificielle, plusieurs projets menés par des laboratoires d’études et des universités montrent combien le rôle des chercheurs en histoire reste essentiel.

La vie de ce préfet romain, célèbre pour avoir condamné Jésus, reste mystérieuse. Hormis sa formule « Ecce homo », que sait-on de lui ?

Il y a quarante ans était créée "L'Histoire" pour faire connaître au grand public les acquis de la recherche universitaire. Un anniversaire qui donne l’occasion de faire le bilan de l'évolution d'une discipline sans cesse en mouvement.

On est frappé, à relire les numéros de notre revue depuis quarante ans, de voir à quel point l'histoire est vivante. Elle accompagne les turbulences du monde, les découvertes de la science, les tragédies ou les interrogations sur l'identité. Elle s'attaque, inlassable, aux massifs d'archives abandonnés par les dictatures en déroute, pour y trouver des réponses aux questions laissées béantes, aux drames inexpliqués, aux aveuglements devenus incompréhensibles.

On est frappé, à relire les numéros de notre revue depuis quarante ans, de voir à quel point l'histoire est vivante. Elle accompagne les turbulences du monde, les découvertes de la science, les tragédies ou les interrogations sur l'identité. Elle s'attaque, inlassable, aux massifs d'archives abandonnés par les dictatures en déroute, pour y trouver des réponses aux questions laissées béantes, aux drames inexpliqués, aux aveuglements devenus incompréhensibles.

On est frappé, à relire les numéros de notre revue depuis quarante ans, de voir à quel point l’histoire est vivante. Elle accompagne les turbulences du monde, les découvertes de la science, les tragédies ou les interrogations sur l'identité. Elle s'attaque, inlassable, aux massifs d'archives abandonnés par les dictatures en déroute, pour y trouver des réponses aux questions laissées béantes, aux drames inexpliqués, aux aveuglements devenus incompréhensibles.

On est frappé, à relire les numéros de notre revue depuis quarante ans, de voir à quel point l’histoire est vivante. Elle accompagne les turbulences du monde, les découvertes de la science, les tragédies ou les interrogations sur l'identité. Elle s'attaque, inlassable, aux massifs d'archives abandonnés par les dictatures en déroute, pour y trouver des réponses aux questions laissées béantes, aux drames inexpliqués, aux aveuglements devenus incompréhensibles.

Elle a, en quarante ans, subi bien des mises en cause, dont la plus grave reste le négationnisme. A l'heure des "fake news", les historiens remontent au front.

Une biographie éclaire le parcours du grand intellectuel cosmopolite, pionnier de l’histoire globale.

L’historien a été l’un des premiers universitaires turcs à reconnaître le génocide arménien. Son dernier ouvrage est implacable.