Les philosophes Alain Finkielkraut et Elisabeth de Fontenay entretiennent une réelle amitié. C'est pourquoi ils ne craignent pas la "dispute" et se disent, par lettres, leurs quatre vérités dans "En terrain miné" (Stock).

Pour "Le Point, le décapant philosophe allemand, auteur d'"Après nous le déluge", analyse le succès du candidat d'En Marche !. Entretien.

L'euphorie semble avoir succédé au pessimisme. Est -ce justifié ? Enquête. Sommaire. La France va-t-elle - vraiment - mieux ? Le nouveau pays de l'"énergie positive". Bruno Le Maire : "Nous ne sommes pas endormis !" Ce que les Allemands pensent de nous. Peter Sloterdijk : "En France, la guillotine n'est jamais loin". A Bruxelles, les exilés ne veulent pas revenir ! Mathieu Laine : "La libération se fera non contre l'Etat, mais par l'Etat".

Chez "Bouquins", la philosophe publie "Les passions intellectuelles" un an après "L'esprit du peuple" de l'historien. "Le Point" les a réunis pour un débat de haut vol sur le XVIIIe siècle, la laïcité, la gauche, la GPA...

La pandémie et la guerre en Ukraine, en particulier, ont rebattu les cartes pour l'écrivain italien, fervent défenseur de la Mitteleuropa. Il se confie sur son profond désarroi au "Point".

L'un incarne le libéralisme, l'autre la souveraineté populaire : deux formes de libération selon le philosophe, auteur de "L'avenir de la liberté" (PUF).

Le philosophe Gaspard Koenig achève son tour du monde sur les traces des aventuriers de la liberté. A l'occasion de la parution de son nouveau livre, il nous confie ses impressions de voyage.

Alors que Jean-Luc Mélenchon et sa Nupes ont talonné la majorité présidentielle au premier tour des législatives, la philosophe regrette que la gauche ait renoncé à l'idéal socialdémocrate au profit d'une tendance radicale. Entretien.

Du Moyen Age à nos jours, l'ouvrage collectif "Révolutions françaises" (Perrin/"Le Point") retrace l'histoire des troubles majeurs qui ont divisé notre pays.

Dans «Bloc contre bloc», Jérôme Sainte-Marie ressuscite Antonio Gramsci et évoque une reconfiguration politique, sous la forme d'un bloc élitaire contre un bloc populiste.

Conforté par la naïveté occidentale, le néo-impérialisme russe prend sa source dans l'absence de jugement des crimes staliniens, explique le philosophe ukrainien, qui analyse ici les ressorts de la résistance face à l'occupant.

Il y a trente ans, l'effondrement du bloc soviétique aurait inauguré une nouvelle ère : celle de la démocratie et du capitalisme universels qui, régnant désormais de concert et sans partage, devaient accoucher d'un monde pacifié. Comme l'a très tôt vu Jacques Rancière, cette prophétie n'a servi qu'à dissimuler la violence d'un camp autoproclamé du « bien ».