De nouveaux programmes de recherche sur la dépression ou la schizophrénie notamment visent à établir un diagnostic fondé sur des connaissances objectives et mesurables, et non plus seulement l'observation de manifestations subjectives. Des avancées rendues possibles par les progrès de l'imagerie cérébrale et la biologie moléculaire.

Pathologie sévère, souvent associée à la folie, la schizophrénie continue de susciter des images anxiogènes. Pourtant, sa prise en charge a beaucoup évolué ces dernières années.

Après des décennies de tâtonnements, la recherche semble passer la vitesse supérieure et de nouvelles molécules voient le jour. Elles offrent une meilleure réduction des symptômes et moins d’effets secondaires.