S'appuyant sur le documentaire qu'il a réalisé en 2012, l'auteur interroge six anciens chefs du Shin Bet, le service de sécurité intérieure israélien. Ils décrivent les méthodes et les moyens employés dans la lutte contre le terrorisme, évoquent la gestion du dossier palestinien depuis la guerre des Six-Jours et dressent le constat de la politique menée. ©Electre 2015

C'est sur ce ton, et à ce rythme, que Danièle Kriegel, aujourd'hui journaliste, mène son récit. Fille de la célèbre Annie Kriegel, elle raconte son enfance - «ma mère et moi, on s'est ratées» -, une jeunesse en décalage, la découverte d'un pays, Israël, dont elle refuse certains codes tout en l'aimant éperdument, et sur lequel elle exerce son regard acéré de commentateur politique. Autant de paradoxes que son écriture pleine de surprises nous fait vivre comme de vrais bonheurs de lecture et de touchantes pudeurs. La moustache de Staline est un récit autobiographique écrit à la première personne sur son enfance à Paris dans une famille communiste et sur son expérience d'adulte immigrée à Jérusalem avec un regard acéré sur la société contemporaine israélienne6,7.

Témoignages des cheminements d'Israéliens issus des milieux ultra-orthodoxes qui s'orientent vers une vie laïque, recueillis par l'anthropologue en tant que bénévole dans une association à Jérusalem d'aide aux sortants, surnom donné à ces personnes. ©Electre 2015

Le document présente la culture et les habitants de la région, les modes de vie et les religions ainsi que les arts et les traditions culinaires. Comprend des idées d'itinéraires et des activités, promenades à pied, circuits organisés, lieux de restauration ou sites à ne pas manquer, les plages, le musée de la Diaspora ou l'ancien port arabe de Jaffa. ©Electre 2015

Cet essai aborde tous les aspects politiques, historiques ou religieux d'un pays qui est toujours dans l'actualité géopolitique au coeur d'une société en profonde mutation. Electre 2015

Historien, l'auteur tente de mettre en lumière les ressorts de la formation d'une conscience nationale juive et de la constitution d'une nation homogène, partageant la même vision de l'histoire. Il explique que ce défi a pu être relevé grâce à l'école, aux cérémonies commémoratives, aux lieux de mémoire et aux programmes télévisés.

Depuis les années 1990, le niveau des équipes de football arabes est en hausse. De plus en plus de joueurs arabes intègrent les clubs juifs et l'équipe nationale israélienne. Le football est donc à la fois un champ de protestation et d'intégration sociale. Selon l'auteur, il sert plutôt de catalyseur au conflit, à défaut d'une politique d'intégration globale israélienne. ©Electre 2017