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Commotion cérébrale

Article

Auteurs
La coupe du monde de football qui se tient au Qatar du 20 novembre au 18 décembre 2022 ne doit pas occulter le fait que les contacts physiques et les spectaculaires jeux de tête ne sont pas sans danger pour les joueurs. Une certitude scientifique dont la prise de conscience reste lente à venir.
Numéros de page :
pp.72-73

Article

Introduction Le SCAT5 est le score principal pour évaluer la gravité d’une commotion cérébrale. Néanmoins, ce score prédit mal le pronostic d’une commotion cérébrale. Le neurotracker pourrait être pertinent pour évaluer les fonctions cognitives après une commotion cérébrale. Le but de cette étude est de comparer les performances du score SCAT5 avec celles du neurotracker à 48-72h après une commotion cérébrale pour prédire la gravité du syndrome post-commotionnel. Méthodes Notre étude est une cohorte prospective monocentrique.
Numéros de page :
7 p. / p. 47-53

Article

Auteurs
Pendant longtemps, on a recommandé le repos absolu après une commotion cérébrale. Comme pour beaucoup d'autres affections, cela semblait être la meilleure façon de récupérer. Dans ce domaine là aussi, on a fini par faire machine arrière. Aujourd'hui, on conseille au contraire d'intégrer assez vite des efforts physiques modérés dans le protocole de convalescence.
Numéros de page :
pp.30-33

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Il n’existe, aujourd’hui, aucun traitement efficace reconnu pour accélérer la réparation neuronale et agir sur l’inflammation dans le cerveau ayant subi une commotion. Une stratégie thérapeutique novatrice fondée sur une exposition à la lumière proche infrarouge, issue de lasers de basse intensité – la photobiomodulation –, constitue une piste intéressante car non invasive. Après des résultats prometteurs chez la souris, mais aussi chez des traumatisés crâniens, notamment des vétérans de guerre, elle sera bientôt évaluée dans des essais cliniques chez les sportifs.
Numéros de page :
pp.68-73

Article

Date parution pério
2024-03-01
L'exemple de Cléopâtre Darleux, sur le touche depuis plus d'un an, montre que les commotions ne touchent pas seulement les sports à forts impacts. Mais heureusement, de plus en plus de solutions thérapeutiques existent.
Numéros de page :
pp.28-30

Article

Auteurs
Mi-avril, l’ancienne star du rugby français annonçait avoir perdu tout souvenir de ses 62 matchs disputés en équipe de France. Cette nouvelle a interpellé le public et le corps médical sur l’impact des sports de contact sur le système nerveux. Que s’est-il passé dans son cerveau ?
Numéros de page :
pp.72-77

Article

Auteurs
Victime de chocs cérébraux à répétition, la joueuse de l'équipe de France a dû renoncer à participer à la coupe du monde de rugby féminine, qui a débuté le 22 août en Angleterre. Des blessures qui, dans l'ovalie, affectent encore plus lourdement les joueuses.
Numéros de page :
p.18

Article

Auteurs
Lorsqu’on boit trop, on titube, on bafouille, on éprouve des difficultés à penser, on perd la mémoire. Saviez-vous que le sport peut nous rendre ivres lui aussi ? Point d’alcool à l’horizon mais un cerveau tellement secoué qu’il finit par ne plus fonctionner correctement. Parfois jusqu’au drame !
Numéros de page :
pp.30-33

Article

Retour sur la 5e Symposium ReFORM
A l'heure où les exigences du sport de haut niveau ne cessent de croître, la question de l'après-carrière devient centrale. Le 5e Symposium du réseau ReFORM, accueilli à l'INSEP le 13 juin 2025, a rassemblé experts, cliniciens, chercheurs et athlètes autour d'une thématique essentielle : La carrière... et après ? Structuré en quatre sessions, l'événement a abordé les conséquences physiques, neurologiques, psychologiques et sociales des blessures, tout en mettant en lumière les enjeux liés à la reconversion et à l'automédication chez les athlètes....
Numéros de page :
4 p. / p. 215-218