S'intégrer, trouver sa place en maison de retraite classique quand on est lesbienne, gay, bi ou trans n'est pas simple. Beaucoup sont condamnés, en vieillissant, à retourner au placard. Pour tenter de remédier à ce problème - et alors que la question émerge en France -, à Berlin, un lieu LGBT friendly et intergénérationnel a vu le jour en 2012.

L'hommage public rendu par son compagnon à Xavier Jugelé, gardien de la paix assassiné sur les Champs-Elysées, a mis en lumière la question de l'homosexualité dans les forces de l'ordre. Enquête dans un milieu où les gays et lesbiennes ont longtemps été ostracisés.

Le journal indépendant "Novaïa Gazeta" a été le premier à y consacrer des art icles : dans ce pays dirigé d'une main de fer par Ramzan Kadyrov, les autorités emprisonnent, torturent et assassinent les homosexuels. Le point sur une situation terrifiante.

Brimades, insultes et viols : la majorité des détenus LGBT sont persécutés et condamnés à la loi du silence. Ceux qui osent parler dénoncent aussi la complaisance d'une partie des gardiens et l'inertie de l'administration pénitentiaire.

Partout dans le monde, les violences et les meurtres contre les personnes LGBTI se multiplient. Enquête et témoignages, du Mali à Tchétchénie en passant par la France. Sommaire. Mali, les homosexuels chassés. L'enfer tchétchène. Dans nos campagnes.

En 2017, le ministère de l'Intérieur a relevé 262 agressions physiques homophobes ou transphobes. Et depuis. les plaintes ont encore crû de 15 %. "L'Express" s'engage pour que cette situation insupportable cesse. Sommaire. Un homo agressé toutes les 33 heures. Etre homo, en France, en 2018. Qui sont les "casseurs de pédés" ? Agressions contre les homos, assez !

Pink washing ou réelle volonté de coller à son époque, la télé visibilise de plus en plus les homosexuel-les. Toutefois, à l'image d'Eric dans Sex Education, les scénarios ont du mal à s'affranchir des stéréotypes et pour ne pas trop déboussoler les téléspectateurs dans leur orientation...

Le légendaire soulèvement contre l’homophobie du 28 juin 1969 à New York marque l’aboutissement de décennies de lutte des gays américains.

Peu après la reprise des championnats de football, en août, des rencontres ont été interrompues à la suite d'insultes de la part des supporteurs jugées à caractère discriminatoire. Une décision soudaine qui fait du bruit dans les tribunes. Sommaire. Est-il si malin d'interdire ? Les coulisses d'une décision très politique. Censurer les slogans ? Pas de bière pour les uns... du champagne pour les autres. Ces petits plaisirs pointés du doigt.

D'un côté, une ministre des Sports, Roxana Maracineanu, déterminée à éradiquer des stades les slogans issus d'un champ lexical homophobe. De l'autre, des supporters baignant dans une culture commune faite d'esprit de provocation et de masculinité exacerbée. Au milieu, des arrêts de matchs, des bisbilles entre le ministère et la Fédération française de football et une question de fond : vu le niveau global d'homophobie dans le pays, est-il utile de sanctionner des "enculés" lancés à la volée sans avoir pris le temps de déconstruire la portée de cette insulte dans les esprits ?

En nombre croissant, les collectivités locales polonaises qui se déclarent “sans idéologie LGBT” s’exposent désormais à des réactions du reste de l’Europe, comme des suspensions de jumelage, voire peut-être de versements de subventions de l’Union Européenne.