Selon cet hebdomadaire britannique, aucun candidat à la primaire de gauche ne se distingue vraiment dans cette campagne. D'autant que le vainqueur a bien peu d'espoir de remporter la présidentielle.

L'élection de Trump ou le succès du Brexit imposent aux analystes la plus grande prudence. Quand la gouvernance vire à l'impuissance, tout devient possible.

Eminence aristo de Fillon, l'ancien patron d'Axa, au coeur des réseaux qui comptent, a concocté la sévère potion libérale prônée par le candidat du parti Les Républicains. Portrait.

Quand la France dut trouver un successeur à Georges Pompidou, les candidats "légitimes" à droite ne manquaient pas. C'est pourtant un jeune ministre, lancé sur le tard en campagne, qui saura rassembler et coiffer au poteau les gaullistes comme la gauche.

La presse étrangère a observé avec attention le premier débat entre les cinq favoris de l'élection présidentielle.

Ces "petits" candidats, bien que légitimés par leurs parrainages, ont pourtant été écartés du débat organisé par TF1, lundi 20 mars 2017. "Marianne" donne la parole à ces six prétendants à l'Elysée atypiques au travers de leur proposition phare.

En cette année très politique, "M" revient sur les moments-clés de la présidentielle. Cette semaine, la nuit épique du dimanche 5 mars. Invité du "20 heures" de France 2, François Fillon vient de confirmer sa candidature malgré sa mise en examen. Benoist Apparu et Gilles Boyer, deux fidèles d'Alain Juppé, ont alors l'idée folle de convaincre leur mentor de se poser en recours. Petit hic, il a convoqué la presse pour refuser ce rôle, le lendemain à 10 heures... Seul moyen d'arriver à temps : prendre le volant et foncer jusqu'à Bordeaux.

José Eduardo Dos Santos ne se représente pas aux élections du 23 août 2017. Le chef d'État et ses proches sont accusés de s'être considérablement enrichis grâce au programme de reconstruction du pays lancé après la guerre civile.

Obsédé par son ennemi, Jacques Chirac, le candidat socialiste, trop sûr de lui, néglige sa gauche. Une erreur fatale à l'origine du "coup de tonnerre" du 21 avril...

Le 6 mai 2017, les Français éliront leur prochain président. Quelle sera sa politique en faveur des arts ? Sera-t-elle en continuité ou en rupture avec celle menée lors du quinquennat Hollande ? "Beaux-Arts" a interrogé les cinq principaux candidats à l'investiture suprême. Sommaire. Propos introductifs et bilan du quinquennat.

Véritable bataille littéraire, démarrée courant 2016, entre les candidats à l'élection présidentielle française de 2017. Alors que la publication d'un livre est devenue un instrument médiatique indispensable aux campagnes présidentielles, accentuée par l'organisation des primaires en amont, les librairies voient affluer toute une série d'ouvrage qui ne sont pas tous pour autant des best-sellers. La stratégie des éditeurs : susciter l'intérêt chez le plus grand nombre en dissociant les livres de l'ambiance de la vie politique actuelle.

L'élection de la primaire à droite, tenue à l'automne 2016, a généré 8,3 millions d'euros de chiffre d'affaires pour le livre. Le champion des librairies reste incontestablement le candidat Nicolas Sarkozy, avec près de 250 000 ventes en deux livres, sur 493 700 volumes écoulés au total par les sept candidats. Détails avec données chiffrées : les ventes cumulées par livre 2015-2016 (à fin octobre), en volume et en valeur. Un graphique sur la répartition des ventes par candidats, en nombre d'exemplaires, en %.