Au Livre il a préféré les livres. De Kundera à Henry James, de Vassili Grossman à Albert Camus, de Philip Roth à Karen Blixen, le philosophe revisite les romans qui lui ont donné accès à la complexité du monde. Contre le nivellement, seule la littérature, dit-il, peut nous donner Un coeur intelligent (Stock/Flammarion)

Le philosophe, auteur d'un livre événement, Un coeur intelligent, revient sur la burqa et le multiculturalisme

Ils sont les pôles opposés de notre générateur idéologique. L'un incarne le révolutionnaire, l'autre le nostalgique. Alain Badiou et Alain Finkielkraut ont une Explication. Un livre avec Aude Lancelin.

Le philosophe ausculte la France après l'affaire Merah.

Contre les ″apôtres de la diversité″, le philosophe Alain Finkielkraut interroge ce qui constitue la France.

Dans ″Et si l'amour durait″ (Stock), le philosophe Alain Finkielkraut s'interroge sur l'amour, 34 ans après ″Le nouveau désordre amoureux″.

Incivilités, provocations, profs giflés... Enquête sur la fin du respect. Et sur ceux qui résistent.

Après la parution du livre que Marcela Iacub consacre à sa liaison avec DSK, le philosophe s'alarme de voir la vie privée, conquête des temps modernes, jetée en pâture à une société de plus en plus exhibitionniste.

Pour le philosophe, le mensonge de Cahuzac ne doit pas faire triompher de nouveaux despotes.

Avec ″L'Identité malheureuse″ (Stock), Alain Finkielkraut empoigne le sujet inflammable de l'identité française. Un débat interdit ? Le philosophe ne l'accepte pas. Nous non plus. Portrait, interview, extraits et réactions d'Elisabeth Badinter et de Ghaleb Bencheikh.

Après la polémique sur les classes préparatoires, le philosophe dénonce les ravages de l'égalitarisme.

Tout indiquait leur déclin. Depuis des décennies, l'influence des intellectuels dans le débat politique battait de l'aile. Elle se mesurait aux liens directs qu'ils entretenaient avec les hommes de pouvoir, auxquels ils apportaient éventuellement leur soutien ou au contraire, criblaient de vives critiques. Plus rien ne devait ressembler à l'image très frappante de ce jour de juin 1979 où Jean-Paul Sartre et Raymond Aron, flanqués d'André Glucksmann, se rendirent en délégation à l'Elysée pour plaider, à juste raison, la cause des boat people vietnamiens.