Dans son dernier livre, l'auteur de "la Machine égalitaire", de "l'Argent fou" et de "Français, si vous osiez" dénonce l'état de déliquescence dans lequel se trouvent les médias français.

Homme de réseau, penseur, conseiller des grands patrons, il se rêve en homme de la Renaissance.

Après une lecture critique d'ouvrages valorisant ou dénonçant le poids de l'opinion, (A. Minc, A. Cotta), on essaie de montrer que la démocratie d'opinion accompagne une opacité croissante de la société française...

Ce sont les nouveaux Marx tendance Nasdaq. Dans leurs essais, Jean-Marie Messier et Alain Minc plaident sans états d'âme pour une révolution capitaliste, mâtinée de nouvelle économie.

Rémi Perelman nous présente ici le dernier ouvrage d'Alain Minc, "Ce monde qui vient", qui s'efforce de discerner les évolutions à venir de notre monde.

A propos du livre d'Alain Minc : ″Une histoire politique des intellectuels″, qui vient de paraître chez Grasset, nous avons reçu le texte ci-dessous de M. Marc Fumaroli.

Les années passées dans le groupe de matériaux de construction ont été essentielles dans la constitution du carnet d'adresses de l'homme le plus influent du capitalisme français.

Il fut le conseiller des puissants, des années 1990 à récemment. Politiques et grands patrons de tous bords se disputaient ses précieuses - et coûteuses - stratégies. Mais la défaite de Sarkozy, dont il fut le Mazarin, a porté un rude coup à ses affaires. Après avoir suscité rancoeurs et jalousie, Alain Minc ne semble plus au centre du jeu. Fin de partie ou passage à vide avant un nouveau rebond.

L'essayiste jadis abonné aux best-sellers peine à séduire les lecteurs. Effet de l'anti-sarkozysme ? Ou le gourou du CAC 40 est-il passé de mode ?

Pour le célèbre consultant français, LE vrai risque pour 2020 est la possibilité, sur le terrain géopolitique, d'un acte de guerre brusque et irréfléchi lancé par un président américain obsédé par sa réélection.

Alain Minc consacre une biographie à Mirabeau. L'homme qui aurait pu mettre fin à l'allergie française au « réformisme » ?