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Réalisateurs de cinéma

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La décennie a été marquée par le vieillissement et les «derniers films». La décennies a également été marquée par l'apparition de nouveaux cinéastes. Sommaire. Le ciel peut attendre. Jeunes cinéastes, avec et sans oeuvre. Avoir 20 ans dans les années 10.
Numéros de page :
pp.42-50

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Entretien avec Karim Aïnouz, cinéaste brésilien, à l'occasion de la sortie de son film "La Vie invisible d'Euridice Gusmâo".
Numéros de page :
pp.62-63

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Le statut actuel d'Eisenstein est paradoxal. D'un côté, le cinéaste et ses films se sont peu à peu absentés du panthéon des cinéphiles. Ce n'est bien sûr qu'une indication, mais ni Eisenstein ni aucun de ses films ne figurent parmi "les plus cités" de notre rédaction ; jadis sacré "meilleur film de tous les temps", "Le Cuirassé Potemkine" a été détrôné par Vertigo. Pourtant les publications d'écrits d'Eisenstein et sur Eisenstein foisonnent
Numéros de page :
pp.72-73

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"Positif" n'avait jamais consacré de dossier à un cinéaste pourtant admiré par de nombreux rédacteurs. C'est donc ici un "oubli" qui est enfin réparé. Les textes réunis, sans s'être concertés, évitent tous le cliché du "Visconti grand antiquaire". C'est plutôt le pourquoi de cette recherche minutieuse des objets et du temps perdu qui émerge, avec une convergence notable avec les thèmes philosophiques du déclin et de la mort. Plutôt qu'un artiste tourné vers le passé, c'est un visionnaire qui s'impose, un agitateur d'idées et de concepts.
Numéros de page :
pp.88-98, 100-115

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Diplômé de la Fémis en 1994, Yorick Le Saux a éclairé et cadré de nombreux films de cinéastes cinquantenaires : Xavier Giannoli, Erick Zonca, Claire Denis, Jim Jarmusch, François Ozon et Olivier Assayas dont il a été plusieurs fois le collaborateur. Deux longs métrages portant sa signature sortent ce mois-ci, "Cuban Network" d'Olivier Assayas et "Les Filles du Docteur March" de la jeune réalisatrice américaine Greta Gerwig.
Numéros de page :
pp.14-16

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À l'occasion de chaque nouveau film de Clint Eastwood, on s'émerveille à la fois de la constance et de la capacité de renouvellement de ce metteur en scène. "Le Cas Richard ]ewell" confirme la maîtrise du cinéaste : la concision, l'efficacité du spectacle n'impliquent aucune hâte excessive ; le film a au contraire l'aspect serein des oeuvres réfléchies.
Numéros de page :
pp.6-11

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"1917" est de toute évidence un tournant décisif dans la carrière de Sam Mendes. Le metteur en scène brillant, virtuose, aigu, nous a plus d'une fois séduits, dans des oeuvres apparemment très différentes les unes des autres ("American Beauty", "Les Sentiers de la perdition", "Les Noces rebelles", "Jarhead", et le meilleur des James Bond, "Skyfall"). Cette nouvelle oeuvre le voit puiser dans des souvenirs familiaux et affronter avec talent l'écriture de scénario.
Numéros de page :
pp.12-21

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Après nos précédents entretiens sur "Carlos" et "Après Mai", il nous semblait logique de proposer à Olivier Assayas de poursuivre nos échanges autour de "Cuban Network" qui, dans sa filmographie, semble répondre à ces deux précédents titres, et pas seulement parce qu'Edgar Ramfrez était déjà la vedette de "Carlos" : un film choral, l'histoire récente, la politique... Mais on n'imaginait pas l'incroyable aventure qu'a été le tournage de ce film à Cuba, dont il a accepté de nous dévoiler sans fard quelques péripéties rocambolesques.
Numéros de page :
pp.22-29

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Barry Giffard, auteur d'essais et de fictions, a vu son roman "Wild at Heart" adapté par David Lynch ("Sailor et Lula", 1990) et a participé à l'écriture de "Lost Highway" (1997), "Perdita Durango" (Alex de la Iglesia, 1997), "City of Ghosts" (Matt Dillon, 2002) et "The Phantom Father" (Lucian Georgescu, 2011). Ce texte fait partie de son dernier recueil d'articles, "The Cavalry Charges" (University Press of Mississippi, 2007).
Numéros de page :
pp.58-60

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Ce coup d'oeil rétrospectif sur la décennie cinématographique qui vient de s'achever permet de mesurer la richesse d'inspiration, de créativité et de plénitude d'un art qu'on a si souvent enterré. Souvenez-vous : dans les années 1950, la généralisation de la télévision dans les foyers allait tuer le cinéma ; dans les années 1980, la VHS, le LaserDisc et Canal+ allaient l'enterrer définitivement ; dans les années 2000, avec le DVD, cette fois, c'était sûr ; puis ce furent le Blu-ray, le HD DVD, aujourd'hui Netflix et autres plateformes.
Numéros de page :
pp.89-92, 94-102, 104-111

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Pour son dixième anniversaire, le festival Écrans mixtes de Lyon (4-12 mars 2020) a offert au public un beau cadeau, la présence exceptionnelle de John Waters, venu présenter quelques films et participer à une masterclass animée par Marie Losier. Les deux cinéastes se connaissent de New York, alors que Marie Losier faisait la programmation du Florence Gould Hall de l'Alliance française et avait fait venir le réalisateur de "Female Trouble" pour présenter "Le Camion" de Marguerite Duras, dont il est un grand fan.
Numéros de page :
pp.70-77

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Se qualifiant lui-même de cinéaste "postsoviétique", Sergei Loznitsa, 56 ans, réinvente le rapport au temps - au temps d'avant (le plus souvent), ainsi qu'au temps présent. Dans ses oeuvres, l'avenir n'existe pas - ou si peu. Sommaire. Sergei Loznitsa, prix Nobel de l'après ? "Quand tu seras grand, tu comprendras !" : entretien avec Sergei Loznitsa.
Numéros de page :
pp.70-79