Le Petit journal de Yann Barthès sur Canal + fait grincer les politiques. Making of.

Cet article interroge la forme médiatique du fait divers au journal télévisé (JT). Construits autour d'une absence d'images explicites de l'événement, absence paradoxale pour la télévision, les récits de faits divers au JT présentent certains invariants qui donnent une forme générique à une diversité de drames. Ces formes sont questionnées d'un point de vue pathémique, c'est-à-dire dans leur capacité à susciter une émotion chez le public. L'article montre en effet l'existence de différentes structures et figures rhétoriques qui favorisent l'identification et l'imagination du téléspectateur.

La chaîne d'information publique corrige une erreur historique. Au prix d'un trop-plein économique mais au bénéfice de l'intérêt général.

Un an avant la présidentielle et alors que la concurrence est plus intense que jamais avec LCI gratuite et l'arrivée de France Info, la rédaction de la chaîne du groupe Canal+ s'enfonce dans le marasme.

On la disait discrète et novice en audiovisuel. Neuf mois après sa nomination surprise par le CSA, la première présidente de France Télévisions surprend par son franc-parler et son aplomb. Femme de pouvoir à l'habileté très politique, elle a jusqu'ici été épargnée par les syndicats. Obtenu une rallonge de l'Etat. Et s'est attelée au dossier de l'information. Un chantier sensible à un an de la présidentielle.

Face aux chaînes tout info et à Internet, le ″20 heures″ et les émissions politiques de France 2 tiennent bon. Visite dans les coulisses d'un succès.

Il y a cinquante ans naissait le journal télévisé français.

Arte, France 4 et LCI se démènent pour vous apporter de l'information. Zoom sur les quatre magazines et journaux qui se partagent l'antenne. A votre écran !

Développer l'esprit critique est au programme des 8-12 ans. Leur baby-sitter carrée s'en charge et les parlementaires s'en félicitent. Motifs et perspectives.

Dimanche 26, au soir de la tempête, les téléspectateurs étaient deux fois et demie plus nombreux à regarder le journal de TF1 que celui de France 2. La suprématie de la Une semble désormais irréversible. Robert Namias, patron de l'information sur TF1, explique pourquoi à Philippe Gavi.