La Mère coupable, c'est cet individu qui peut dans le même temps râler et faire des bisous, crier : « Va dans ta chambre ! » et susurrer : « Viens faire un câlin à Maman », qui hurle à mort quand l'ado fait couler l'eau trop longtemps, mais qui laisse la petite lumière allumée toute la nuit pour rassurer le petit dernier...La Mère coupable, c'est vous, cette maman pleine de paradoxes inexplicables, qui tente de mener sa vie comme elle l'entend pour tordre le cou à la mère parfaite.Ajoutez-y un soupçon de crise de la quarantaine, quelques kilos en trop, un mari aimant mais souvent absent, un ex-petit ami qui refait surface, et une chanson d'amour des années 1980 qui vient interrompre la bande-son du quotidien de cette mère de famille perdue dans sa routine. On a toutes en nous un peu de cette « mère coupable » que la blogueuse Caroline Fourment croque avec humour et tendresse. Amélie Cordonnier, Femme actuelle.

Avec ses 40 ans désormais bien tapés, une certaine nostalgie du body de bébé, son stress permanent, un semblant de crise de ménopause mentale, la Mère coupable voit surgir une envie de peut-être tout recommencer, en amour comme en benne de couches sales. Baby or not baby ? Telle est sa question. Ses enfants désormais plus grands, elle a le sentiment de ne plus servir à rien. Sauf à faire cuire des pâtes.Maman : individu givré qui peut rester debout devant son frigo ouvert pendant cinq minutes, en espérant que ce dernier lui donne une idée de repas ! #t'aspasuneidéemonsieurlefrigo ?Et voici que réapparaît dans une routine peuplée de lessives et de pantoufles qui traînent, Alex, l'ex. De quoi lui donner envie de se réfugier sur l'île paradisiaque que toutes les mères au bord du gouffre chérissent : Belle-Île-en-Mèrescoupables. Pourquoi regretter les dents de lait perdues, les premiers pas de nos chérubins... quand il reste tant encore à vivre et à partager ?

En s'appuyant sur son expérience personnelle et les témoignages d'autres femmes, Daniela Martins livre sa vision décomplexée de la maternité et aborde des sujets tels que le post-partum, l'allaitement, le cododo, l'éducation positive, entre autres. ©Electre 2024

A partir du témoignage de cinq femmes et d'un homme sur l'inceste subi durant leur enfance ainsi que de celui d'une mère qui évoque son silence, K. Dusfour et H. Romano questionnent la place des mères et tentent d'établir des profils de personnalités afin de comprendre pourquoi elles ne protègent pas leur enfant. ©Electre 2023

La multiplication de ces techniques d'insémination avec donneur chez des couples lesbiens nous a incités à reconsidérer les étapes psychologiques traversées par ces enfants. Nous avons pour cela retenu quatre situations emblématiques. Elles nous ont permis, comme les autres, de revenir sur la question du « Tiers » et du père interne de la mère permis de réexaminer la nature du complexe d'dipe et la rivalité à la mère dite « sociale » permis de décliner de manière nouvelle les fantasmes liés aux scènes primitives et bien d'autres choses. Par ailleurs, les symptômes présentés par ces garçons n'ont pas été d'une alarmante gravité malgré chez tous de vives réactions colériques. Ils ont de concert témoigné d'une importante curiosité et d'une grande culture. Ces manifestations correspondant chez eux à une volonté de toute puissance assez ostensiblement affichée.

« Je regrette d'être devenue mère Si c'était à refaire, je m'abstiendrais. »  Le regret maternel est le tabou ultime dans une société où la maternité est glorifiée et le plus souvent associée à un panel d'émotions positives.Pour la première fois, dix femmes racontent à travers des témoignages d'une intensité et d'une sincérité rares les différentes facettes de ce sentiment méconnu et troublant.Un document unique et passionnant qui bouscule les idées reçues sur la maternité.     

Sous la forme de 56 textes plus ou moins longs, l'auteure raconte avec humour son quotidien de maman de deux enfants pour décomplexer les femmes et leur apprendre à accepter de ne pas être des mères parfaites. ©Electre 2024

Médée, en tuant ses enfants, est une figure tragique et scandaleuse. Cette étude réinterprète la dimension universelle du mythe en faisant appel à la criminologie, la clinique infantile et les affaires familiales.