Le soutien de la Chine serait annonciateur d’un monde de tous les dangers, scindé en deux blocs.

La Force expéditionnaire conjointe dirigée par les Britanniques se met rapidement en ordre de marche contre la Russie.

Journal de bord d'un photographe russe contraint à l'exil.

La sociologue Karine Clément, spécialiste des mobilisations collectives, analyse l’instrumentalisation médiatique à laquelle la population russe est soumise sans en être forcément dupe.

L’invasion de l’Ukraine par l’armée russe a été décidée par le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine. Cette décision, dont on peine à voir la rationalité, invite à s’interroger sur le personnage, ce qui guide son action, sa vision du monde, ses référents idéologiques et aussi la fascination qu’il a pu exercer en dehors de la Russie. La dimension religieuse – la référence à l’orthodoxie – ne doit pas non plus être ignorée.

Les prises de position du patriarche de Moscou à propos de l’invasion de l’Ukraine ont suscité de nombreuses réactions. Il est important de déchiffrer leur imaginaire sous-jacent, qui s’appuie sur la notion de « monde russe ». On peine à voir les différences avec la position de courants religieux plus nationalistes, proches du pouvoir politique.

En Transnistrie, petite république séparatiste aux confins de la Moldavie et de l’Ukraine, la propagande du Kremlin tourne à plein régime pour convaincre la population de l’imminence d’une guerre.

En 1991, l'effondrement de l'Union soviétique donne naissance en Asie centrale à cinq Etats indépendants : le Kirghizstan (31 août), l'Ouzbékistan (1er septembre), le Tadjikistan (9 septembre), le Turkménistan (27 octobre), et le Kazakhstan (16 décembre). Certains tentent de s'émanciper de la Russie, qui demeure la puissance incontournable dans la région. Sur quoi repose cette suprématie russe ? Est-elle concurrencée ?

Depuis le début de la guerre en Ukraine, New Delhi n'a jamais explicitement condamné l'agression de Moscou. Une impartialité tenable ?

Depuis l'invasion de l'Ukraine, la problématique de l'atome est un impensé de l'UE. C'est pourtant une piste pour son autonomie énergétique.

On le sait dès la première scène du film: Kimi va mourir. Dans le documentaire "How to Save a Dead Friend", qu'elle a présenté à Cannes, la réalisatrice russe Marusya Syroechkovskaya tente de faire revivre son ami, décédé d'une overdose en 2016, à travers des images tournées pendant douze ans à Moscou. Dépression, drogue, Poutine : c'est aussi douze ans d'histoire russe qui défilent. Jusqu'à la guerre en Ukraine.

Le père Ioann, qui officiait dans le village de Karabanovo, à 400 km de Moscou, s'est exprimé devant ses paroissiens en faveur de la paix en Ukraine. Il a été immédiatement dénoncé et démis de ses fonctions.