Le projet de loi pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques vise à favoriser la libéralisation de l'économie française. Cet objectif, notamment pour les professions réglementées, le secteur de l'immobilier commercial et celui des transports, passe par un accroissement de la concurrence en même temps que par des instances de régulation renforcées. Il se traduit aussi par des mesures destinées à stimuler les investissements des opérateurs économiques tant privés que publics.

Les producteurs de l'appellation espèrent conquérir de nouvelles parts de marché aux Etats-Unis, comme tout le secteur du luxe.

Le ″Grenelle de l'Environnement″ a prévu la réalisation de 4500 km de lignes nouvelles à grande vitesse pour un coût de 103 milliards d'euros... A l'exception de certains députés de la Commission de finances de l'Assemblée nationale, aucun élu ne semble avoir réalisé qu'une telle dépense mettrait en péril l'équilibre des finances du pays.

"Juste place" ne doit pas se comprendre comme place équitable, mais comme évaluation juste. Peut-on parvenir à une évaluation objective de la place de la France dans le monde qui rencontre un accord général ? Ce qui ressort d'abord, c'est le contraste entre l'évaluation faite par les Français et celle faite par les autres sur la France.

Chômage, croissance, déficits... La France reste engluée dans ses anomalies, ses peurs et ses lâchetés.

Qui peut croire que l'économie ne sera pas au coeur de la présidentielle ? François Lenglet, dans un livre chez Albin Michel, et Louis Chauvel, au Seuil, soulèvent les sujets qui fâchent.

Son livre "L'économie du bien commun" est un des succès de l'année. L'économiste français décrypte les mutations actuelles du capitalisme. A lire avant 2017.

Canada, Suède, Pays-Bas, Allemagne... Tous ont su réformer en profondeur l'Etat providence et leur modèle social. Voici leurs méthodes.

Réconcilier les Français avec l'économie ? C'est le pari du Prix Nobel Jean Tirole, qui publie un ouvrage destiné au grand public. En avant-première, il livre à "L'Express" son diagnostic : il n'y a pas de fatalité aux maux dont souffre le pays.

"Ca va mieux". Marges, compétitivité etc. au lieu d'énumérer les sèches raisons d'espérer tout droit sorties d'une note de la direction du Trésor, le président François Hollande aurait sans doute mieux fait pour éclairer une opinion en plein brouillard d'inventorier les risques mais aussi...les chances du monde tel qu'il est. S'il n'est pas facile de contrecarrer le discours dominant de tous les prophètes de malheur qui tiennent actuellement le haut du pavé que ce soit en matière économique, écologique, sociale et politique, ce devoir d'optimisme ne s'en impose pas moins.

Plaidoyer de François Ecalle, l'un des meilleurs spécialistes français des finances publiques, qui insiste sur l'impérieuse nécessité de réduire le déficit public. L'enjeu : alléger le poids de la dette pour éloigner le pays de la zone de vulnérabilité.