Au large de la côte est malgache, l'île Sainte-Marie a été le campement de forbans aux XVIIe et XVIIIe siècles. Les archéologues mettent peu à peu au jour d'innombrables vestiges terrestres témoignant de leur activité, mais aussi subaquatiques avec la découverte d'épaves non encore fouillées.

Une scientifique mise sur un insecte au goût de bacon pour sauver les primates de Madagascar de l'extinction.

Il ne vit qu'à Madagascar. Il pèse entre 125 g et 280 g. Il vit la nuit. Il mesure entre 16 et 19 centimètres.

C'est une tradition qui a dégénéré : le vol de zébus, rituel à valeur sacrée chez certains Malgaches, est désormais au coeur d'un conflit sanglant entre éleveurs et bandits armés. Nos journalistes ont accompagné un troupeau sur la piste de tous les dangers.

Je suis un lémurien : j'appartiens à la famille des primates. Mais ne me confonds pas avec un singe !

Une épave mystérieuse, des cartes anciennes, de la porcelaine chinoise... Tous les ingrédients de l'aventure étaient réunis dans la mission des archéologues que GEO a suivis sur cette petite île malgache, autrefois un repaire de forbans.

Les lémuriens sont l'emblème de Madagascar. Moi, on m'appelle aussi sifaka. Ce nom malgache fait référence à mon cri, une sorte de sifflement, que je pousse pour signaler un danger à mes congénères.

Les Malgaches ont régulièrement recours aux rites hérités des temps anciens : culte des ancêtres, divination, talismans... Même la nature recèle quantité de lieux sacrés. Immersion dans un monde encore rythmé par les forces invisibles et les sorciers.

Madagascar, la quatrième plus grande île habitée au monde après l’Australie, la Nouvelle-Guinée et Bornéo, ne cesse de fasciner par sa diversité et ses trésors naturels uniques. Au-delà de ses emblématiques baobabs et de ses lémuriens, cette île de 587 000 km2, plus vaste que la France et s’étendant comparativement de Lille à Madrid, est un véritable concentré de richesses culturelles et identitaires