L'Europe repart à l'assaut de la Planète rouge pour trouver des preuves de vie.

Ce 20 juillet 1976 est le point culminant de huit années de travail acharné : à 348 millions de kilomètres, la sonde Viking 1 s'apprête à poser ses pieds métalliques sur le sol d'une autre planète, Mars. Une grande première.

Et si une forme de vie, même rudimentaire, existant sur Mars, imaginons son regard sur les efforts que nous déployons (ou pas !) pour la détecter.

A la Nasa, les pilotes du robot Curiosity sont appelés les ″Martiens″. Normal : ils travaillent, mangent et dorment à l'heure de la planète rouge, en décalage total par rapport au reste du monde.

L'homme qui a conçu l'audacieux dispositif d'atterrissage du robot martien Curiosity détaille les étapes du projet. Une entreprise qui l'a conduit dans le grenier d'un ancien de la Nasa, au musée de l'Air et de l'Espace et chez les pilotes d'hélicoptères.

Il coûte encore plus cher qu'un footballeur et s'est déplacé pendant huit mois à la vitesse de 10000 kilomètres à l'heure. Du coup, cet ambassadeur spatial hors norme ne suscite pas seulement l'admiration, il nous fournit une formidable matière à rêver.