Les récentes turbulences sur les marchés japonais témoignent de bouleversements profonds dans l'économie mondiale. Le spectre d'une récession plane.

Emploi, activité, investissement... l'année 2021 sera celle de la résilience pour les piliers des entreprises françaises.

Pendant le confinement, Edouard Tétreau, consultant et essayiste, a réuni virtuellement un groupe de chefs d'entreprise, de responsables de syndicats et d'ONG pour travailler sur la sortie de crise.

Cette île de 22 millions d'habitants, longtemps modèle pour la région, s'enfonce dans une crise majeure. Victime du Covid, écrasée sous une dette colossale, plombée par des décennies de népotisme, elle fait face à une flambée des prix et à une pénurie d'essence... Un avertissement pour d'autres pays ?

Des supermarchés pris d'assaut, des rayons dévalisés, des files d'attente sur les trottoirs pour des produits de première nécessité : les images du début de l'épidémie de Covid-19 ressemblent aux prédictions de celles et ceux qui, depuis quelques années, théorisent l'effondrement de notre civilisation. Des services de santé saturés, une économie au ralenti, un repli sur soi forcé et une surveillance généralisée : les réactions en chaîne qui ont suivi venaient encore corroborer leur scénario du pire.

Pour garnir les caisses de l'Etat, rétablir la confiance dans le crédit, faciliter la circulation du capital, juguler les crises alimentaires, les penseurs anciens ont proposé des solutions, parfois radicales. Pas de chiffres.

Candidat à sa réélection le 6 octobre, le président Kaïs Saïed a fait voler en éclats la théorie d'une Tunisie sous perfusion du FMI. Une tentative infructueuse, car le pays n'a cessé depuis de s'enfoncer dans la crise. Détails. Quelques données chiffrées.

Ce journaliste du "New York Times" a traversé un pays rongé par la violence et la corruption et où les pères enterrent leurs enfants morts de faim. Sommaire. Voyage dans l'enfer de la guerre. Comment l'affaire Khashoggi pourrait stopper le conflit.

A peine élu à la présidence des Etats-Unis fin 2020, Joe Biden doit prendre le relais de son prédécesseur dans la lutte contre le Covid-19. Le nouveau président a annoncé un plan d'aide de 1900 milliards de dollars afin de soutenir son pays, l'un des plus impactés du monde. Le soutien annoncé servira plusieurs objectifs : accélération du programme de vaccination, prolongation des systèmes d'assurance chômage et d'assurance maladie, envoi d'un chèque de 2000 dollars à tous les Américains. Joe Biden souhaite aussi accompagner davantage les Etats, en première ligne face au virus.

Les aides publiques ont abondé en 2020 afin de soutenir les entreprises françaises face à la crise de Covid-19. Toutefois, ces aides ne prennent pas toujours en compte les effets d'aubaine, lorsqu'une entreprise qui n'en a pas besoin reçoit quand même de l'argent, ou qu'une entreprise qui aurait fait faillite dans tous les cas en reçoit également. Ce genre de cas réduit l'efficacité du soutien public.

Prélever ponctuellement les plus riches en cas de pandémie, quelle bonne idée ! Et les arguments économiques sont de taille, même si tout ne se joue pas sur ce terrain.

Sept milliards d'euros pour le secteur aérien, huit pour l'automobile, quinze pour l'aéronautique ... Mais pas un euro pour les transports publics, dont le déficit pourrait atteindre quatre milliards sur l'année 2020.