A 71 ans, Ailton Krenak est l’un des plus éminents porte-voix de la cause autochtone brésilienne. Cet auteur à succès est aussi devenu, en avril, le premier indigène élu à l’Académie des lettres. Un honneur qui lui vaut l’opprobre d’une nouvelle génération de militants l’accusant d’être la caution de l’intelligentsia blanche. D’autant que l’homme se refuse à soutenir un camp politique.

Tandis que la criminalité et le trafic de drogue sont devenus le principal problème du Brésil, la montée en puissance et la force de frappe financière des groupes criminels brésiliens constituent pour une Europe en pleine crise un risque systémique majeur, encore largement sous-estimé, voire incompris.

C'est la première fois que Tarsila do Amaral (1886-1973) bénéficie en France d'une importante rétrospective. L'exposition présentée au musée du Luxembourg ira ensuite au musée Guggenheim de Bilbao. Abondante sans être pléthorique, elle trace un chemin limpide à travers l'oeuvre d'une artiste qui fut dans les années vingt l'un des phares du modernisme et qui poursuivit son aventure au-delà de ces années cruciales dans l'histoire du Brésil.

Chague année, en février, a lieu le plus célèbre carnaval du monde, à Rio. Les écoles de samba (la danse du Brésil) défilent devant des milliers de spectateurs.

La tribu brésilienne la plus proche de l’extinction ne compte que trois membres, dont seulement deux habitent encore dans la forêt amazonienne. Sa survie est l’enjeu d’épineuses questions pour le pays.

Apparue au XIXe siècle, cette littérature de colportage a longtemps été le seul média d’information et de divertissement. Elle se réinvente aujourd’hui.

La lutte des femmes pour leurs droits a façonné ce village brésilien.